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Vitamine D chez l’enfant : recourir aux médicaments et non aux compléments alimentaires pour prévenir le risque de surdosage

Des cas de surdosage à la vitamine D ont récemment été rapportés chez des jeunes enfants suite à la prise de compléments alimentaires enrichis en vitamine D. Ces cas se manifestent par une hypercalcémie (taux excessif de calcium dans le sang) qui peut avoir des conséquences graves, telles qu’une atteinte rénale à type de lithiase / néphrocalcinose (dépôt de calcium dans le rein).

Date limite de consommation (DLC) et date de durabilité minimale (DDM)

« A consommer avant le », « à consommer jusqu’au », « à consommer de préférence avant le » … ces mentions figurent sur les emballages des produits alimentaires. Mais quelle est la différence ? Que signifient les dates DLC et DDM ? Quels produits sont concernés ? Certaines dates limites peuvent-elles être dépassées sans présenter de risque pour notre santé ? Quels sont les aliments et boissons impérissables ? L’Anses répond aux questions les plus fréquentes et vous livre ses recommandations pour éviter les erreurs.

L’Anses et Sciensano poursuivent leurs collaborations

L’Anses et son homologue belge Sciensano ont renouvelé les conventions qui les lient depuis 2009. Les deux organismes poursuivront leurs collaborations, notamment dans les domaines du diagnostic et des activités de recherche et de référence relatives aux agents pathogènes responsables d’épizooties et de zoonoses et aux agents chimiques susceptibles de contaminer la chaîne alimentaire.

Compléments alimentaires contenant des huiles essentielles d’arbre à thé, de niaouli et de cajeput : leur consommation sans précaution peut présenter des risques

S’il n’existe pas, en France, d’usage alimentaire traditionnel des feuilles de Melaleuca, des huiles essentielles présentes dans de nombreux compléments alimentaires en sont issues : arbre à thé (ou tea tree), niaouli et cajeput. Des consommateurs en détournent l’usage pour en faire des traitements d’appoint en vue de soigner certaines infections. Or, ces huiles essentielles sont déconseillées voire interdites dans certains pays européens en raison de leurs potentiels effets neurotoxiques.

Plantes décoratives - leur ingestion peut être toxique pour les Hommes comme pour les animaux

Pendant les fêtes de fin d’année, le houx, le gui ou encore le poinsettia sont utilisées pour décorer les gâteaux, l’intérieur de sa maison ou son jardin. L’ingestion de baies ou de feuilles par les enfants ou les animaux peut s’avérer toxique et provoquer des symptômes plus ou moins graves en fonction des quantités consommées. En cas d’ingestion, l’Anses vous recommande d’appeler au plus vite un Centre antipoison.

Singapour et la France signent un protocole d’accord pour renforcer leur coopération concernant la sécurité sanitaire des aliments

© Christophe Cordevant

Le 14 décembre 2020, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et la Singapore Food Agency (SFA) ont signé un protocole d’accord (Memorandum of Understanding) pour soutenir le développement de la collaboration scientifique et technique entre les deux agences dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments.

COVID-19 : les recommandations et travaux de l'Anses

Depuis le début de la pandémie Covid-19, l’Anses mobilise son expertise dans ses champs de compétences - santé animale, alimentation et nutrition, santé au travail, etc. - pour donner au public des repères utiles à l’organisation de la vie quotidienne et à la protection de sa santé dans cette période exceptionnelle. A l’interface de la santé humaine et animale, dans l’esprit “d’une seule santé”, l’Agence contribue à apporter une réponse aux questions soulevées par cette crise, que ce soit en termes de recherche ou d’appui à la gestion.  Elle mobilise en particulier son expertise en matière de zoonoses et de coronavirus animaux pour améliorer les connaissances relatives au SARS-Cov-2. Découvrez l’ensemble des actions menées depuis mars 2020 et les derniers travaux de l’Agence.

Un virus qui menace les courgettes détecté pour la première fois en France

Le Tomato leaf curl New Delhi virus (ToLCNDV) est un virus qui a la capacité de progresser rapidement au sein des cultures de courgettes, en provoquant des dommages importants. Le laboratoire de la santé des végétaux de l’Anses a confirmé sa présence en France, alors que le pays était jusqu’à ce jour exempt de la maladie. 

 

Cueillette des champignons : attention aux intoxications !

Depuis le début de la saison des champignons, les centres antipoison ont enregistré une très nette augmentation des cas d’intoxications associés à la consommation de champignons sauvages, notamment ces deux dernières semaines. Les conséquences sur la santé peuvent être graves et conduire à une hospitalisation voire au décès.

Les microplastiques, un risque pour l’environnement et la santé

La taille des microplastiques est comprise entre 5 millimètres et quelques centaines de nanomètres, soit 70 fois plus petit que l’épaisseur d’un cheveu. Ils sont retrouvés partout dans l’environnement : l’air, les habitations, les cours d’eau, la terre mais aussi les océans. L’ensemble des espèces vivantes, des plus petites comme le zooplancton, aux plus grandes comme les baleines, peuvent les ingérer.

Cette année encore, attention aux courges amères !

En pleine saison des citrouilles, potirons, potimarrons, pâtissons et autres cucurbitacées, il est important de rappeler que toutes les « courges » ne sont pas comestibles. Les courges amères peuvent même être à l’origine d’intoxication alimentaire parfois grave. Explications.

 

La caféine : une substance pas si anodine

Café, thé, guarana, … la caféine est naturellement présente dans de nombreuses plantes. On la trouve aussi dans des produits enrichis tels que les boissons énergisantes. Une fois ingérée, la caféine est rapidement distribuée dans l’organisme. Ses effets sur la santé ne sont pourtant pas anodins. Retour les conséquences de la consommation de caféine sur la santé et les conseils de l’Anses pour éviter les effets indésirables.

La saison de cueillette des champignons commence : restez vigilants face aux risques d’intoxications !

Le début de l’automne marque le début de la saison des champignons et de leur cueillette. Chaque année, de nombreuses intoxications par des champignons sont rapportées aux Centres antipoison. Les conséquences sur la santé peuvent être graves et conduire à une hospitalisation voire le décès : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Aussi, que l’on soit fin connaisseur ou cueilleur occasionnel, il faut rester vigilant et respecter les bonnes pratiques pour une consommation en toute sécurité. 

Les cyanobactéries - le point en 10 questions

Les cyanobactéries se développent principalement en été dans des eaux comme les lacs, les étangs et certains cours d’eau et provoquent un changement de couleur de l’eau. Si elles se retrouvent naturellement dans les écosystèmes aquatiques, leur prolifération, conséquence d’un apport en nutriments trop important dans les lacs et les rivières, devient une préoccupation internationale croissante du fait des conséquences écologiques, sanitaires et économiques qu’elle entraîne. Décryptage d’une famille de bactéries qui fait de plus en plus parler d’elle.

Eau de boisson : bonnes pratiques de consommation

Faut-il privilégier les eaux en bouteille ou l’eau du robinet ? Quelle quantité d’eau doit-on consommer chaque jour pour être correctement hydraté ? Comment éliminer simplement l’odeur de chlore parfois présente dans l’eau du robinet ? Quels contenants utiliser pour stocker l’eau ? Les carafes filtrantes sont-elles des alternatives intéressantes aux eaux en bouteille ?...L’Agence répond à toutes les questions que vous vous posez dans ce nouvel article.

Présence de cyanobactéries en eau douce : l’Anses fait des propositions en vue d’harmoniser la surveillance et le contrôle

L’Anses publie ce jour un avis relatif aux risques sanitaires liés à la présence de cyanobactéries et leurs toxines dans les eaux de loisirs, les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH) et aux activités de pêche. Ces travaux ont notamment permis d’actualiser la liste des cyanobactéries productrices de toxines en eau douce présentant un danger pour l’Homme.

Plante comestible et plante toxique : gare aux confusions

Certaines plantes toxiques ressemblent à des plantes comestibles et peuvent être confondues avec ces dernières lors de cueillettes dans la nature ou dans le jardin potager. La cueillette de plantes pour la consommation n’est donc pas sans risques et plusieurs cas d’intoxication grave voire mortelle sont régulièrement signalés. L’Agence et les Centres antipoison vous donnent quelques conseils pour éviter les accidents.

 

Sécurité sanitaire des aliments : l’Anses propose un outil pour hiérarchiser les dangers chimiques et biologiques

De la fourche (production puis transformation de l’aliment) à la fourchette (consommation), les aliments que nous consommons peuvent être contaminés par divers agents chimiques et biologiques (dangers) et ainsi présenter un risque pour notre santé.  Pour aider les gestionnaires du risque à optimiser la sécurité des aliments que nous consommons, l’Anses a élaboré une méthodologie de hiérarchisation de ces dangers.

Table de composition nutritionnelle des aliments (Ciqual) : l’Anses enrichit ses données et publie ses priorités de travail pour les années à venir

Avec 3 185 aliments référencés, la table Ciqual gérée par l’Anses est la base de données de référence sur la composition nutritionnelle des aliments les plus consommés en France. La nouvelle version de la table Ciqual intègre le détail de tous les sucres individuels contenus dans les aliments. Cette version 2020 propose également des données actualisées sur les principaux fruits et légumes, y compris ceux cultivés en Outre-mer.

Que sont les nouveaux aliments et ingrédients alimentaires (novel foods) ?

Avec la mondialisation et parce que de nouvelles sources de nutriments sont continuellement identifiées, de nouveaux types d'aliments s'invitent en permanence dans notre assiette. En France, la nutrivigilance permet de surveiller d’éventuels effets indésirables liés à leur consommation. Que sont ces nouveaux aliments et ingrédients et comment sont-ils encadrés en Europe ?

Covid-19: les recherches de l'Anses sur les coronavirus

A l’interface de la santé humaine et animale, dans l’esprit “d’une seule santé” ("One Health"), le positionnement des laboratoires de l’Anses contribue à apporter une réponse efficace à des questions de recherche appliquée, de mise en œuvre immédiate et à réponse rapide. Ainsi, depuis le début de la pandémie Covid-19, l’Anses a mobilisé ses équipes de recherche, son expertise en matière de zoonoses et de coronavirus animaux, et son réseau de laboratoires pour améliorer les connaissances relatives au SARS-Cov-2 et répondre aux questions nées avec cette crise. Découvrez les différents projets conduits par l’Agence.

Nanomatériaux dans l’alimentation : les recommandations de l’Anses pour améliorer leur identification et mieux évaluer les risques sanitaires pour les consommateurs

Depuis la fin des années 1990, un nombre accru de nanomatériaux sont intégrés, du fait de leurs propriétés spécifiques, dans la composition de produits de la vie courante et notamment de produits alimentaires. Face à la diffusion des nanomatériaux manufacturés dans notre quotidien, de nombreux questionnements relatifs à leur identification, leurs impacts sur la santé humaine et sur l’environnement, ainsi que la manière de les réglementer, ont vu le jour.

Les nanomatériaux

Les nanomatériaux sont utilisés de plus en plus fréquemment dans de nombreux produits de la vie courante : aliments, cosmétiques, médicaments, etc. Leur présence soulève de nombreuses questions sur les risques qu’ils peuvent représenter, aussi bien pour la santé humaine que pour l’environnement. Détails des travaux de l’Anses sur les nanomatériaux.

L’Anses met en garde contre la consommation de compléments alimentaires pouvant perturber la réponse immunitaire

Certaines plantes contenues dans les compléments alimentaires peuvent perturber les défenses naturelles de l’organisme en interférant notamment avec les mécanismes de défense inflammatoires utiles pour lutter contre les infections et, en particulier, contre le COVID-19. Les plantes visées par l’avis de l’Anses sont : le saule, la reine des prés, l’harpagophytum, le curcuma, les échinacées, le bouleau, le peuplier, la réglisse…

 

Confinement : Assurer un apport suffisant en vitamine D grâce à l’alimentation

La vitamine D joue un rôle essentiel dans la qualité du tissu osseux et musculaire ainsi que dans le renforcement de notre système immunitaire. Dans le contexte actuel de l’épidémie de Covid-19, les défenses immunitaires peuvent être particulièrement sollicitées. Poissons gras, fromage, jaune d’œuf… la consommation de ces aliments riches permet d’assurer à notre corps un apport en vitamine D.

Eviter les toxi-infections alimentaires en confinement : les bonnes pratiques

Chaque année, en France, environ un tiers des toxi-infections alimentaires déclarées surviennent au domicile. Durant cette période de confinement où l’ensemble des repas sont pris au domicile, les modes de stockage, de préparation et de consommation des aliments peuvent être modifiés. Il est donc essentiel d’appliquer, avec une attention plus soutenue, les bonnes pratiques d’hygiène dans la cuisine.

Maintenir une activité physique et limiter la sédentarité : l’Anses adapte ses repères au confinement

Réduction des déplacements, baisse de l’activité physique et augmentation des temps de sédentarité, déséquilibres énergétiques et alimentaires : le confinement préconisé pour combattre l’épidémie de Covid-19 peut être source de risques spécifiques pour notre santé. L’Anses s’est autosaisie afin d’émettre des recommandations pour atténuer les effets de cette situation particulière sur l’appareil locomoteur, cardiovasculaire et sur le métabolisme.

Coronavirus - Alimentation, courses, nettoyage : les recommandations de l’Anses

Quelles précautions prendre après avoir fait ses courses ? Faut-il cuire ses aliments pour détruire le virus ? Peut-on manger ses fruits et légumes crus tels quels ? L’Anses a examiné, sur la base des données scientifiques disponibles, les possibilités de transmission de la maladie Covid-19 par les aliments. Voici ses réponses aux questions les plus fréquentes.

Mise à jour le 7 avril 2020 à 12h00

Bougez chez vous : pratiquer une activité physique régulière contribue à améliorer sa santé

Durant la période de confinement liée à la crise sanitaire exceptionnelle que traverse le pays actuellement, il est essentiel de maintenir une activité physique régulière à son domicile. Exercices cardio-respiratoire, renforcement musculaire, assouplissement : toutes ces formes d’activités physiques quotidiennes peuvent se pratiquer chez soi, en utilisant le matériel à disposition (une chaise, des bouteilles d’eau remplies) et contribuent à améliorer votre santé.

COVID-19 : pas de transmission par les animaux d’élevage et les animaux de compagnie

Interrogée sur la transmission potentielle de la maladie Covid-19 par l’intermédiaire d’animaux domestiques ou d’aliments contaminés, l’Anses a réuni en urgence un groupe d’experts spécialisés pour répondre à cette question. Sur la base de leur rapport, elle conclut qu’à la lumière des connaissances scientifiques disponibles, il n'existe aucune preuve que les animaux de compagnie et d’élevage jouent un rôle dans la propagation du virus SARS-CoV-2 à l’origine de cette maladie.

Le tremplin Carnot AgriFood Transition obtient sa labellisation d’Institut Carnot

L’Anses est partenaire fondateur de ce label d’excellence qui rejoint le réseau des 39 instituts Carnot labellisés par le MESRI. Au sein de ce nouvel institut de recherche et de développement de l’alimentation durable, pour la santé de l’homme et son environnement, l’Anses apportera par la participation de son laboratoire de Ploufragan Plouzané Niort, son potentiel de recherche en santé, bien-être des animaux et sécurité sanitaire des aliments pour accompagner les entreprises agricoles et agro-alimentaires dans la voie de l’agro-écologie.

Incendie de l'usine Lubrizol à Rouen : les avis de l'Anses

L’important panache de fumée produit par l’incendie, le 26 septembre, de l’Usine Lubrizol à Rouen a généré des retombées sur plusieurs départements français. Rapidement, des mesures et des prélèvements ont été initiés par les pouvoirs publics pour évaluer l’impact des substances dangereuses susceptibles d’avoir été émises.

Dans ce contexte, l’Anses a été saisie afin d’évaluer les risques alimentaires potentiellement liés aux retombées. Il s’agit en premier lieu de s’assurer de l’adéquation des premières dispositions prises en matière de surveillance et de prélèvement, en ce qui concerne les productions agricoles et alimentaires.

En vue de compléter la stratégie mise en place en urgence, l’Anses a également été saisie conjointement avec l’Ineris afin d’identifier les principales substances susceptibles d’avoir des effets sanitaires en lien avec différentes voies d’exposition. La contribution de l’Anses vient en complément des travaux de l’Ineris, organisme de référence en matière de risques industriels, qui a notamment dressé la liste des substances susceptibles d’avoir été émises dans l’environnement lors de cet accident industriel et des zones ayant été exposées à ces substances.

Lubrizol : recommandations de l’Anses pour la mise en place de la surveillance à long terme des denrées alimentaires

Suite à l’incendie de l’usine Lubrizol, deux phases de gestion ont été mises en place par les autorités pour maîtriser les risques d’exposition par l’alimentation. Lors de la première étape, les échantillons prélevés avaient pour objectif de rechercher les contaminants susceptibles d’être associés à l’incendie dans des denrées alimentaires situées sous le passage du panache et de mesurer leur niveau. Cette recherche a concerné tant les aliments destinés à l’Homme qu’aux animaux.

Utilisation de plantes à base de berbérine dans les compléments alimentaires

Les plantes à berbérine sont utilisées dans les compléments alimentaires principalement pour réguler la glycémie et la cholestérolémie, bien qu’aucune allégation de santé ne soit autorisée au niveau européen. Afin d’identifier des conditions d’utilisation sûres de ces compléments alimentaires, l’Anses fait le point sur les effets sanitaires et notamment le profil toxicologique de la berbérine.

Evolution de l’utilisation des additifs alimentaires dans les produits transformés

L’Anses publie ce jour un état des lieux de l’utilisation des additifs dans les aliments transformés disponibles sur le marché français, dans le cadre de l’Observatoire de l’alimentation (Oqali) opéré conjointement par l’Anses et l’INRA. Grâce aux données collectées sur plus de 30 000 produits, cette étude permet également de mettre en évidence les évolutions de la présence des additifs dans les aliments. Si la majorité des produits contiennent au moins un additif, les usages sont plus importants pour certaines catégories d’aliments.

Préparations en poudre pour nourrissons : les recommandations de l’Anses pour améliorer la maîtrise des dangers microbiologiques

Suite à l’épidémie de salmonellose survenue en 2017 liée à la consommation de préparations en poudre pour nourrissons, l’Anses a été saisie pour évaluer les mesures d’hygiène, de surveillance et de contrôle mises en œuvre dans la filière de production de ces produits afin d’améliorer la maitrise des dangers microbiologiques. A l’issue de cette expertise, l’Agence rappelle l’importance de l’application rigoureuse des mesures générales d’hygiène pour prévenir les contaminations de ces préparations.

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