En améliorant une architecture de bit quantique connue sous le nom de « fluxonium », des physiciens offrent un moyen de comprendre l’effondrement quantique.
La première réserve naturelle du monde a été créée en forêt de Fontainebleau, en 1861 – onze ans avant Yellowstone –, et ce fut l’œuvre d’un peintre qui parlait aux arbres.
Fruits de nombreuses collaborations avec les scientifiques, les œuvres de Karine Bonneval invitent à renouer les liens avec le végétal, et notamment avec le bouleau, cet injustement mal-aimé.
Dans ses œuvres, des aquarelles naturalistes et scientifiques, Suzanne Husky se fait l’avocate d’un « mouvement d’alliance avec le peuple castor ». C’est ce que ces animaux ont beaucoup à nous apprendre pour restaurer l’environnement !
Comment alerter sur les dangers du plastique sur les écosystèmes marins ? L’artiste Manon Lanjouère répond en alliant ruse, hommage à une pionnière et clichés saisissants d’organismes « planctoniques ».
… est enfin élucidé. Mais aussi, sommes-nous tous prêts pour le tri des biodéchets devenu obligatoire ? Et enfin, les valses de Vienne analysées scientifiquement, ainsi que le futur de l'IA selon Yann Le Cun.
Dans un tableau du milieu du XVe siècle, à l’époque où l’idée de préhistoire n’effleure personne, un saint exhibe une étrange pierre. Ce serait un biface acheuléen, un outil en silex taillé il y a plus de 100 000 ans !
De la Préhistoire jusqu’à nos jours, le cristal de roche a une place à part aussi bien chez les artistes que chez les scientifiques. Une exposition au musée de Cluny explore cette fascination.
… pour éviter de reproduire les erreurs commises sur Terre ; on redoute une épidémie de rougeole ; on part en vacances dans la Capitale française de la biodiversité 2023 ; et l’on croise les doigts pour les soleils… de mer.
La maison Poincaré, nouveau musée consacré aux mathématiques a pour emblème un drôle d’objet propice à de nombreuses pérégrinations mathématiques : le rulpidon.
Dans ses œuvres exposées au domaine de Chaumont-sur-Loire, Fabrice Hyber fait virevolter cellules souches, bactéries, carottes, racines, arbres… pour célébrer l’unité du vivant, mais aussi sa fragilité.
Dans les médecines traditionnelles d’Asie, l’acupuncture et sa « cousine », la moxibustion, ont une place privilégiée. En Occident, elles ont connu un destin contrasté.
Les cycles du climat sont passés de 40 000 à 100 000 ans il y a environ 700 000 ans. En cause, une période glaciaire durant laquelle les eaux océaniques étaient anormalement chaudes.
Le télescope spatial James-Webb a observé un jet de vapeur d’eau de près de 10 000 kilomètres émis par Encelade, soit 20 fois le diamètre de cette lune de Saturne !
Avant de conquérir le monde, Homo sapiens a fait une petite pause de 30 000 ans dans la péninsule arabique, le temps de s’adapter aux conditions nouvelles de l’Eurasie.
Une exposition à Amboise, au Clos Lucé, rend hommage au génie de Léonard de Vinci, pionnier de l’anatomie moderne. Une reconstitution numérique de la célèbre fresque représentant le dernier repas du Christ permet d’y explorer chaque personnage du point de vue anatomique.
En marge d’une exposition consacrée à l’Univers sans humain, une installation rend hommage à Jules Verne grâce à des merveilles de la nature, des cristaux géants de sélénite.
À Chaumont-sur-Loire, la résilience est à l’honneur, car elle est le thème du Festival international des jardins. Parmi les créations, l’une rend hommage au génie bâtisseur des castors et à leur aide précieuse pour lutter contre la sécheresse. La résilience est aussi au cœur des prochaines « Conversations sous l’arbre », un nouveau rendez-vous d’échanges d’idées.
Le 6 mai, rempotez ou semez dans la tenue d’Eve ou d’Adam pour mieux vous reconnecter à la nature. Et aussi : le cuivre sous une forme très oxydée contribue aux chocs septiques et aux métastases ; et les Vikings ont peut-être quitté le Groenland en raison d’une hausse localisée du niveau marin.
À l’instar des glaces polaires, les stalagmites et les stalactites sont des enregistreurs naturels du climat terrestre. Une exposition photographique rend hommage à ces témoins du temps qui passe.
Le récit en peinture d’un Roméo et d’une Juliette vikings abordant le Nouveau Monde trouve un écho dans des fouilles archéologiques au Canada et des analyses de morceaux de bois.
La mission Dart, qui consistait à précipiter une sonde contre un astéroïde de façon à en modifier la trajectoire fut un succès. Aujourd’hui, on en sait plus sur les détails de la collision et de ses effets.
Sur les tableaux du Suisse Ferdinand Hodler, les nappes lisses à la surface du Léman ne sont pas une licence artistique. Elles s’expliquent par l’hydrodynamique du lac.
Le duo d’artistes Art Orienté Objet remet l’être humain à sa place dans le règne animal en le reconnectant aux autres formes du vivant, y compris les bactéries de son intestin.
Au Japon, les liens entre humanité et animaux ne ressemblent en rien à ceux que nous connaissons. Une exposition en fait la preuve et nous invite même à nous en inspirer…
À la Philharmonie de Paris, une exposition alerte sur le silence qui accompagne la perte de biodiversité. Invité à se mettre à l’écoute du vivant, le public découvre notamment un intrigant rituel italien associant danse, musique et araignée.
Grâce à Carolyn Bertozzi, Morten Meldal et Barry Sharpless, récompensés par le prix Nobel de chimie 2022, la chimie est devenue un jeu de Lego où l’on « clipse » les molécules !
En Afrique du Sud, Dillon Marsh rend compte des ravages de l’industrie minière en ajoutant aux clichés de sites ravagés la quantité de métaux qui en a été extraite sous forme de sphères. Des photos au contraste saisissant !