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La lutte contre Campylobacter commence bien dĂšs l’élevage

Un travail d’expertise europĂ©en dirigĂ© par une scientifique de l’Anses a rĂ©Ă©valuĂ© l’efficacitĂ© du contrĂŽle de la bactĂ©rie Campylobacter dans les Ă©levages de poulets pour empĂȘcher la transmission de la bactĂ©rie Ă  l’ĂȘtre humain. Ces rĂ©sultats viennent d’ĂȘtre publiĂ©s dans une revue scientifique.

8 questions sur l'alimentation d'aujourd'hui

Mangeons nous trop et mal ? Les complĂ©ments alimentaires sont-ils utiles pour notre santĂ© ? Acheter en vrac en toute sĂ©curitĂ©, est-ce possible ? L'eau que nous buvons contient-elle des microplastiques ? ... A travers nos vidĂ©os et articles, dĂ©couvrez comment nos scientifiques agissent au quotidien pour rĂ©pondre aux inquiĂ©tudes posĂ©es par l’alimentation d’aujourd’hui. 

 

Manque d’activitĂ© physique et excĂšs de sĂ©dentaritĂ© : une prioritĂ© de santĂ© publique

95% de la population française adulte est exposĂ©e Ă  un risque de dĂ©tĂ©rioration de la santĂ© par manque d’activitĂ© physique ou un temps trop long passĂ© assis. Ces risques sont majorĂ©s lorsque le manque d’activitĂ© physique et l’excĂšs de sĂ©dentaritĂ© sont cumulĂ©s. Certaines populations sont plus exposĂ©es. Promouvoir des modes de vie favorables Ă  la pratique d’activitĂ©s physiques et Ă  la lutte contre la sĂ©dentaritĂ© doit constituer une prioritĂ© des pouvoirs publics selon l’Anses.

Les biotechnologies

Avec l’essor du gĂ©nie gĂ©nĂ©tique, les biotechnologies permettent d’intervenir directement sur les gĂšnes des organismes vivants pour en modifier les propriĂ©tĂ©s. Ces technologies sont utilisĂ©es dans de nombreux secteurs, de la recherche Ă  l’industrie, notamment dans les domaines de l’agriculture et de la santĂ©. Depuis sa crĂ©ation, l’Anses remplit plusieurs missions en rapport avec l’utilisation de plantes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©es dans l’alimentation humaine ou animale, dĂ©signĂ©es sous le nom d’OGM. Le 1er janvier 2022, ses missions ont Ă©tĂ© Ă©largies suite Ă  la dissolution du Haut conseil des biotechnologies. 

L’Anses et la PrĂ©sidence française du Conseil de l’Union europĂ©enne

Dans le cadre de la PrĂ©sidence française du Conseil de l'Union europĂ©enne (PFUE), l’Anses organise et participe Ă  plusieurs Ă©vĂšnements associant agences homologues, partenaires scientifiques et institutionnels. MĂ©dicaments vĂ©tĂ©rinaires, alimentation, substances chimiques
 retrouvez les principaux rendez-vous prĂ©vus au premier semestre 2022.

Un partenariat pour mieux lutter contre les bactéries dans les ateliers de transformation des aliments

La prĂ©sence des bactĂ©ries Listeria et Salmonella dans les ateliers de transformation des aliments pose plusieurs problĂšmes : ces bactĂ©ries pathogĂšnes pour l’ĂȘtre humain sont capables de persister longtemps dans l’environnement et de rĂ©sister aux traitements par des produits biocides. L’UnitĂ© mixte technologique (UMT) Actia Fastypers vient d’ĂȘtre crĂ©Ă©e par le ministĂšre de l’Agriculture pour cinq ans, afin de travailler sur ces problĂ©matiques.

Menu vĂ©gĂ©tarien hebdomadaire Ă  l’école : l’Anses en appui Ă  l’expĂ©rimentation

La loi EGAlim instaure l’expĂ©rimentation d'un menu vĂ©gĂ©tarien hebdomadaire dans la restauration scolaire durant deux ans. InterrogĂ©e par la Direction gĂ©nĂ©rale de la SantĂ© et la Direction GĂ©nĂ©rale de l’Alimentation, l’Anses a fourni deux appuis scientifiques dans le cadre de la mise en Ɠuvre de cette expĂ©rimentation.

Vente en vrac : recommandations et produits Ă  exclure

Comment les distributeurs peuvent-ils garantir aux consommateurs la sĂ©curitĂ© sanitaire des produits vendus en vrac ? Tous les produits peuvent-ils ĂȘtre vendus en vrac ? A l’heure oĂč la vente en vrac prend de l’ampleur, encouragĂ©e par la demande sociĂ©tale et par le lĂ©gislateur dans le cadre de la loi AGEC, l’Anses a Ă©tĂ© saisie par la DGCCRF sur les produits ne pouvant relever de cette pratique pour des raisons de santĂ© publique.

L’Anses et l’Istituto Superiore di Sanità signent un partenariat scientifique

L’Anses et l’ISS - Istituto Superiore di SanitĂ  (Institut national italien de la santĂ©) principal organisme de recherche en santĂ© publique d’Italie, ont signĂ© un protocole d’accord jeudi 18 novembre 2021. Il vise Ă  renforcer une collaboration scientifique de longue date entre les deux organismes dans les domaines de la santĂ© publique vĂ©tĂ©rinaire, la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, la nutrition et la santĂ© environnementale.  

Une premiĂšre revue de la littĂ©rature sur le danger possible de l’ingestion d’amiante

Des fibres d’amiante peuvent, dans certaines circonstances, se retrouver dans les eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine (EDCH). En effet, certaines canalisations d’eau potable sont en amiante-ciment. L’Anses a menĂ© une premiĂšre revue de la littĂ©rature scientifique afin de caractĂ©riser le danger liĂ© Ă  l’ingestion d’amiante.

Projet Marco : six annĂ©es de recherches sur la mer en CĂŽte d’Opale

AprĂšs six annĂ©es, le projet Marco (Recherches marines et littorales en CĂŽte d’Opale : des milieux, aux ressources, aux usages et Ă  la qualitĂ© des produits aquatiques) arrive Ă  sa fin. À cette occasion, un colloque est organisĂ© du 13 au 15 octobre Ă  Boulogne-sur-Mer par les cinq Ă©tablissements partenaires. Tour d’horizon des apports de ce projet, auquel l’Anses a contribuĂ© sur la qualitĂ© des produits de la mer, dont l’étude des microplastiques et de leur impact sur ces produits.

Un guide spĂ©cifique pour Ă©valuer les risques sanitaires des nanomatĂ©riaux dans l’alimentation

Les nanomatĂ©riaux sont de plus en plus utilisĂ©s dans notre alimentation, notamment pour amĂ©liorer l’aspect d’un produit alimentaire, son conditionnement ou sa teneur nutritive. Toutefois, leurs impacts potentiels sur la santĂ© soulĂšvent de nombreuses questions. C’est notamment le cas du dioxyde de titane utilisĂ© comme additif alimentaire (E171), dont la sĂ©curitĂ© d’emploi a Ă©tĂ© questionnĂ©e par l’AutoritĂ© europĂ©enne de sĂ©curitĂ© des aliments (EFSA) et qui est en voie d’ĂȘtre interdit dans l’Union europĂ©enne Ă  compter de 2022.

Vitamine D : privilégier les médicaments pour éviter le surdosage chez les nourrissons

Trois cas de surdosage Ă  la vitamine D ont rĂ©cemment Ă©tĂ© rapportĂ©s chez des nourrissons, suite Ă  la prise de complĂ©ments alimentaires. Un excĂšs en vitamine D peut avoir de graves consĂ©quences sur leur santĂ© et menacer le pronostic vital des tout-petits. Pour limiter les risques, nous rappelons nos recommandations pour la supplĂ©mentation des nourrissons en vitamine D. 

La saison des champignons en avance cette annĂ©e : soyez vigilant face aux risques d’intoxications

Les conditions mĂ©tĂ©orologiques des mois de juillet et d’aoĂ»t favorisent cette annĂ©e les cueillettes prĂ©coces de champignons. De nombreuses intoxications liĂ©es Ă  leur consommation sont dĂ©jĂ  observĂ©es. Celles-ci peuvent ĂȘtre graves - troubles digestifs sĂ©vĂšres, complications rĂ©nales, atteintes du foie pouvant nĂ©cessiter une greffe - voire mortelles. Que vous soyez connaisseur ou cueilleur occasionnel, restez vigilant et respectez les bonnes pratiques pour une consommation en toute sĂ©curitĂ©.

Billes d’eau : Ă  tenir hors de portĂ©e des enfants

L’ingestion de billes ou perles d’eau par de jeunes enfants peut provoquer des accidents graves, parfois mortels. Les cas d’ingestion Ă©tant en nette augmentation, nous alertons les parents et les personnes ayant la garde d’enfants et leur rappelons l’importance de tenir ces objets hors de leur portĂ©e.

Nanomatériaux : pour une définition européenne plus protectrice

Dans l’Union europĂ©enne, la dĂ©finition des nanomatĂ©riaux varie en fonction des secteurs d’activitĂ©. La Commission europĂ©enne a lancĂ© une consultation publique pour rĂ©viser la dĂ©finition des nanomatĂ©riaux en vue d’une Ă©ventuelle harmonisation. Dans sa rĂ©ponse, l’Anses appelle Ă  ne pas exclure de cette dĂ©finition certains nanomatĂ©riaux qui pourraient pourtant ĂȘtre problĂ©matiques pour la santĂ© humaine et l’environnement.

Les plantes toxiques vendues dans le commerce

Certaines plantes d’ornement vendues dans le commerce ou sur internet peuvent prĂ©senter un risque en cas d’ingestion ou de contact cutanĂ© par exemple. Retrouvez dans cet article la liste des plantes toxiques pour les Hommes comme pour les animaux.

Un été sans souci

Depuis plusieurs annĂ©es, l’Anses est partenaire de l’opĂ©ration « Un Ă©tĂ© sans souci Â» pilotĂ©e par la Direction gĂ©nĂ©rale de la SantĂ©. Cette annĂ©e, l'Agence vous propose une sĂ©lection de recommandations pour prĂ©venir les risques propres Ă  la pĂ©riode estivale : non-respect de la chaĂźne du froid, piqĂ»res de moustiques, protection des animaux en cas de fortes chaleurs, etc.

ChlordĂ©cone et alimentation : mieux caractĂ©riser l’exposition des Antillais

L’Anses lance l’étude ChlorExpo en Guadeloupe et en Martinique. Le but est d’obtenir une photographie plus prĂ©cise du niveau d’exposition alimentaire de la population au chlordĂ©cone, en lien avec les derniĂšres connaissances sur les risques d’exposition Ă  ce contaminant chimique. Pour mieux prendre en compte les habitudes locales d’approvisionnement, de prĂ©paration et de cuisson des aliments, l'agence rĂ©alise cet Ă©tĂ© une enquĂȘte scientifique auprĂšs des habitants.

Tout savoir sur la sécurité sanitaire des aliments

Quelles sont les sources potentielles de contamination des aliments ? Qu’est-ce qu’une toxi-infection alimentaire ? Comment Ă©viter les intoxications alimentaires ? Qu’est-ce que la Salmonellose et que provoque-t-elle ? Que fait l’Agence pour garantir la sĂ©curitĂ© sanitaire d’un aliment ?

A l’occasion la journĂ©e mondiale de la SĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, nous vous proposons un dossier dĂ©diĂ© pour mieux comprendre les enjeux de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments et dĂ©couvrir nos actions pour rendre les aliments plus sĂ»rs pour les consommateurs.

Les facteurs de risque de onze maladies d’origine alimentaire passĂ©s en revue

Un numĂ©ro spĂ©cial de la revue Microbial Risk Analysis sur les facteurs de risque des principales maladies infectieuses d’origines alimentaires vient de paraĂźtre. BasĂ© sur les travaux de scientifiques et d’experts de l’Anses, il fait la synthĂšse des connaissances Ă©pidĂ©miologiques et fournit des informations pour orienter les actions prĂ©ventives et la surveillance de ces maladies, ainsi que les futures recherches.

Compléments alimentaires à base de plantes contenant de la coumarine : attention à la surconsommation

L’Anses a Ă©valuĂ© le risque liĂ© Ă  la teneur en coumarine de certaines plantes pouvant ĂȘtre consommĂ©es en particulier dans les complĂ©ments alimentaires. ComposĂ© naturel odorant prĂ©sent dans certaines plantes comme la cannelle, la coumarine est utilisĂ©e dans l’alimentation comme Ă©pice ou ingrĂ©dient aromatisant naturel. ConsommĂ©e Ă  de fortes doses, la coumarine peut provoquer des atteintes hĂ©patiques.

Dioxyde de titane : point sur l’actualisation de l’évaluation de l’EFSA pour l’additif alimentaire E171

L’Anses prend note des conclusions de la rĂ©Ă©valuation par l’EFSA du dioxyde de titane utilisĂ© comme additif alimentaire (E171), qui confirment des prĂ©occupations sanitaires soulevĂ©es par l’Agence dans ses expertises de 2017 et 2019. Elle prendra en compte les donnĂ©es de cette nouvelle Ă©valuation dans ses travaux en cours sur l’évaluation des risques liĂ©es aux additifs et ingrĂ©dients alimentaires de taille nanomĂ©trique.

Les références nutritionnelles en vitamines et minéraux

Le terme gĂ©nĂ©ral « rĂ©fĂ©rence nutritionnelle » regroupe un ensemble de valeurs d’apports alimentaires en nutriments qui varient en fonction de l'Ăąge et du sexe mais aussi en fonction du niveau d'activitĂ© physique, de l'Ă©tat physiologique (comme la grossesse par exemple) ou encore des habitudes alimentaires. Ces rĂ©fĂ©rences nutritionnelles sont utiles aux professionnels de santĂ© et notamment aux spĂ©cialistes de la nutrition et de la diĂ©tĂ©tique pour Ă©laborer un rĂ©gime alimentaire variĂ© et Ă©quilibrĂ© couvrant les besoins de diffĂ©rents groupes de population : nourrissons, enfants, adolescents, adultes, femmes enceintes et allaitantes, personnes ĂągĂ©es) en bonne santĂ©, sans conduire Ă  des excĂšs d’apports. Dans cet article, vous trouverez une description synthĂ©tique des fonctions, des sources alimentaires et des rĂ©fĂ©rences nutritionnelles disponibles pour l’ensemble des vitamines et minĂ©raux.

Publication des nouvelles références nutritionnelles en vitamines et minéraux pour la population française

ApportĂ©s essentiellement par notre alimentation, les vitamines et minĂ©raux sont nĂ©cessaires Ă  la croissance, au bon fonctionnement de notre organisme et au maintien en bonne santĂ©. L’Anses actualise aujourd’hui les rĂ©fĂ©rences nutritionnelles en vitamines et minĂ©raux qui dĂ©finissent les quantitĂ©s permettant de couvrir le besoin en nutriments des populations, sans conduire Ă  des excĂšs. Ces valeurs ont vocation Ă  devenir les rĂ©fĂ©rences pour tous les professionnels du secteur de la nutrition et de la santĂ©.

Zootopique, le podcast d’anticipation de l’Anses

Une Covid-31 est-elle possible ? Que vont devenir nos cohabitations tumultueuses avec les moustiques
 ou les abeilles ? Quelle viande mangerons-nous demain ? L’Anses lance « Zootopique », sa premiĂšre sĂ©rie de podcasts, et propose aux auditeurs un voyage dans le futur pour interroger les liens entre santĂ© humaine et santĂ© animale. Un an aprĂšs le dĂ©but de la pandĂ©mie Covid-19, l’Agence, en collaboration avec le mĂ©dia The Conversation, fait entendre la voix de chercheuses et de chercheurs pour comprendre comment la science d’aujourd’hui anticipe les risques de demain. 

BrĂ©vĂ©toxines dans les coquillages : proposition d’une valeur guide pour la protection des consommateurs

Pour la premiĂšre fois en 2018, des brĂ©vĂ©toxines, une famille de biotoxines marines, ont Ă©tĂ© dĂ©tectĂ©es dans des moules en Corse. En cas d’ingestion, ces toxines peuvent provoquer chez l’Homme des symptĂŽmes neurologiques, gastro-intestinaux et/ou cardiovasculaires. A partir des cas d’intoxication alimentaire survenus dans d’autres pays, l’Anses a proposĂ© une valeur guide pour assurer la protection des consommateurs de coquillages tels que les huĂźtres et les moules. Ces travaux constituent une avancĂ©e scientifique importante dans le domaine des toxines Ă©mergentes.

Intoxication par champignons shiitake : l’Anses et la DGCCRF rappellent l’importance de bien les cuire avant de les consommer

Originaire d’Asie, le champignon shiitake est le champignon le plus consommĂ© au monde aprĂšs le champignon de Paris. ArrivĂ© sur le marchĂ© europĂ©en depuis plusieurs annĂ©es, il est dĂ©sormais cultivĂ© et produit en France. Lorsqu’il est consommĂ© cru ou insuffisamment cuit, le shiitake peut entraĂźner une dermatite toxique « en flagelle » sur tout le corps, provoquant de fortes dĂ©mangeaisons.

Hommes et animaux : une seule santé

La pandémie de la COVID-19 a mis en lumiÚre les liens étroits entre la santé des animaux et celle de l'Homme.

À l’occasion de la journĂ©e mondiale de la santĂ©, nous vous proposons un dĂ©cryptage scientifique et un Ă©clairage de nos actions pour mieux comprendre ces interactions au regard du concept One health, une seule santĂ© pour les animaux, l'Homme et l'environnement.

Les interactions entre la santé animale et la santé humaine en 10 points clés

La santĂ© des animaux et celle de l’Homme sont Ă©troitement liĂ©es. Chaque annĂ©e, trois Ă  cinq nouvelles maladies humaines trouvent leur source dans le monde animal. Mieux connaĂźtre les pathogĂšnes qui circulent chez les animaux permet d’anticiper les Ă©pidĂ©mies qui pourraient survenir chez l’Homme dans le futur. RĂ©sumĂ© en quelques notions clĂ©s pour mieux comprendre la problĂ©matique.

La sécurité sanitaire des aliments, de la fourche à la fourchette

Le lait, la viande, les lĂ©gumes
tous les aliments que nous consommons peuvent ĂȘtre source de contamination. A travers la transmission de bactĂ©ries, de parasites, de virus d’origine animale ou vĂ©gĂ©tale ou de contaminants chimiques, notre alimentation est susceptible de provoquer des maladies ou intoxications chez l’Homme. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments se situe dans une approche globale « une seule santĂ© », Ă  l’interface de la santĂ© des animaux, des vĂ©gĂ©taux et de l’Homme. Pour protĂ©ger le consommateur des risques liĂ©s Ă  la contamination des aliments et prĂ©venir les Ă©pidĂ©mies potentielles, il est essentiel d’intervenir sur toutes les Ă©tapes de la chaĂźne alimentaire, « de la fourche Ă  la fourchette ». C’est le rĂŽle de l’Anses.

Gare aux confusions entre colchique et ail des ours

Lors de cueillette, les plantes sauvages toxiques sont parfois confondues avec des plantes comestibles. La confusion entre l’ail des ours et le colchique peut entraĂźner des intoxications graves voire mortelle. Retrouvez tous nos conseils pour des cueillettes en toute sĂ©curitĂ©.

Le rĂšglement europĂ©en sur la transparence : un nouveau cadre pour l’évaluation des risques et la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments

En vigueur depuis le 27 mars 2021, le RÈGLEMENT (UE) 2019/1381 du Parlement europĂ©en et du Conseil du 20 juin 2019, dit « RĂšglement Transparence Â», vise Ă  renforcer la transparence et la pĂ©rennitĂ©Ì de l'Ă©valuation des risques dans la chaĂźne alimentaire, Ă  l’échelle de l’Union europĂ©enne. Panorama des principales Ă©volutions apportĂ©es par cette rĂ©glementation et ses implications pour les industriels, les reprĂ©sentants de la sociĂ©tĂ© civile, et pour les agences sanitaires nationales comme l’Anses.

Les lipides

Graisses, gras, lipides, acides gras, triglycĂ©rides, cholestĂ©rol, difficile de s'y retrouver parmi tous ces termes 
. DĂ©couvrez Ă  quoi correspondent ces termes, le rĂŽle jouĂ© par les lipides dans l’organisme, les aliments sources de lipides ainsi que les recommandations de l’Anses.

L’Anses et l’ANSM lancent un projet de rapprochement à Lyon : le futur bñtiment commun se dessine

L’Anses et l'ANSM (Agence nationale de sĂ©curitĂ© du mĂ©dicament et des produits de santĂ©) ont dĂ©cidĂ© de rapprocher certaines de leurs activitĂ©s scientifiques et de les regrouper dans un nouveau bĂątiment. Le projet du cabinet Pargade Architectes a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ© pour la construction de ce bĂątiment. EntiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  l’approche « One health – une seule santĂ© », il alliera plateformes technologiques de pointe et laboratoires de haute sĂ©curitĂ© biologique en santĂ© humaine, animale et vĂ©gĂ©tale.

Pesticides dans les eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine : quelle contribution de l’Anses pour protĂ©ger la santĂ© des consommateurs ?

En diffusant dans notre environnement, les pesticides peuvent se transformer en une ou plusieurs autres molĂ©cules appelĂ©es "mĂ©tabolites". Les substances actives de pesticides ainsi que leurs mĂ©tabolites sont ainsi susceptibles de contaminer les ressources en eau et de se retrouver dans les eaux destinĂ©es Ă  la consommation humaine (EDCH). L’Anses vient en appui aux autoritĂ©s dans la gestion des dĂ©passements des limites rĂ©glementaires fixĂ©es, afin de garantir la santĂ© du consommateur. Elle a Ă©galement conçu une mĂ©thode pour identifier, parmi les mĂ©tabolites de pesticides, ceux qui devront faire l’objet d’une attention prioritaire au regard des enjeux sanitaires associĂ©s Ă  la consommation de l’eau.

Un projet pour comprendre et modéliser la transmission du virus SARS-CoV-2 dans les ateliers de transformation de la viande

Des cas groupĂ©s de Covid-19 ont Ă©tĂ© identifiĂ©s chez les personnes travaillant au sein des ateliers de transformation des aliments, en France et dans le monde. Un projet coordonnĂ© par l’Anses et financĂ© par l’Agence nationale de la recherche vient de dĂ©buter pour mieux comprendre comment le virus circule dans les ateliers de prĂ©paration de la viande et proposer des mesures de prĂ©vention adaptĂ©es.

Un nouveau site de déclaration en ligne pour la Nutrivigilance

Le dispositif de Nutrivigilance collecte les signalements d’effets indĂ©sirables liĂ©s Ă  la consommation de certains produits alimentaires, dont les complĂ©ments alimentaires. Les professionnels de santĂ©, les fabricants ou distributeurs et les particuliers peuvent dĂ©sormais dĂ©clarer ces effets indĂ©sirables sur un nouveau site plus facile et rapide Ă  utiliser. En dĂ©clarant sur le site, ils contribuent ainsi Ă  amĂ©liorer la connaissance des produits et la sĂ©curitĂ© des consommateurs.

Tout savoir sur le dispositif de nutrivigilance

ComplĂ©ments alimentaires, nouveaux aliments, aliments enrichis ou boissons dites Ă©nergisantes : la consommation de ces produits peut provoquer des effets indĂ©sirables. Pour les identifier rapidement et protĂ©ger au mieux la santĂ© des consommateurs, l’Anses a mis en place un dispositif de vigilance alimentaire : la nutrivigilance.

Vitamine D chez l’enfant : recourir aux mĂ©dicaments et non aux complĂ©ments alimentaires pour prĂ©venir le risque de surdosage

Des cas de surdosage Ă  la vitamine D ont rĂ©cemment Ă©tĂ© rapportĂ©s chez des jeunes enfants suite Ă  la prise de complĂ©ments alimentaires enrichis en vitamine D. Ces cas se manifestent par une hypercalcĂ©mie (taux excessif de calcium dans le sang) qui peut avoir des consĂ©quences graves, telles qu’une atteinte rĂ©nale Ă  type de lithiase / nĂ©phrocalcinose (dĂ©pĂŽt de calcium dans le rein).

Date limite de consommation (DLC) et date de durabilité minimale (DDM)

« A consommer avant le Â», « Ă  consommer jusqu’au Â», « Ă  consommer de prĂ©fĂ©rence avant le Â» 
 ces mentions figurent sur les emballages des produits alimentaires. Mais quelle est la diffĂ©rence ? Que signifient les dates DLC et DDM ? Quels produits sont concernĂ©s ? Certaines dates limites peuvent-elles ĂȘtre dĂ©passĂ©es sans prĂ©senter de risque pour notre santĂ© ? Quels sont les aliments et boissons impĂ©rissables ? L’Anses rĂ©pond aux questions les plus frĂ©quentes et vous livre ses recommandations pour Ă©viter les erreurs.

L’Anses et Sciensano poursuivent leurs collaborations

L’Anses et son homologue belge Sciensano ont renouvelĂ© les conventions qui les lient depuis 2009. Les deux organismes poursuivront leurs collaborations, notamment dans les domaines du diagnostic et des activitĂ©s de recherche et de rĂ©fĂ©rence relatives aux agents pathogĂšnes responsables d’épizooties et de zoonoses et aux agents chimiques susceptibles de contaminer la chaĂźne alimentaire.

ComplĂ©ments alimentaires contenant des huiles essentielles d’arbre Ă  thĂ©, de niaouli et de cajeput : leur consommation sans prĂ©caution peut prĂ©senter des risques

S’il n’existe pas, en France, d’usage alimentaire traditionnel des feuilles de Melaleuca, des huiles essentielles prĂ©sentes dans de nombreux complĂ©ments alimentaires en sont issues : arbre Ă  thĂ© (ou tea tree), niaouli et cajeput. Des consommateurs en dĂ©tournent l’usage pour en faire des traitements d’appoint en vue de soigner certaines infections. Or, ces huiles essentielles sont dĂ©conseillĂ©es voire interdites dans certains pays europĂ©ens en raison de leurs potentiels effets neurotoxiques.

Plantes dĂ©coratives - leur ingestion peut ĂȘtre toxique pour les Hommes comme pour les animaux

Pendant les fĂȘtes de fin d’annĂ©e, le houx, le gui ou encore le poinsettia sont utilisĂ©es pour dĂ©corer les gĂąteaux, l’intĂ©rieur de sa maison ou son jardin. L’ingestion de baies ou de feuilles par les enfants ou les animaux peut s’avĂ©rer toxique et provoquer des symptĂŽmes plus ou moins graves en fonction des quantitĂ©s consommĂ©es. En cas d’ingestion, l’Anses vous recommande d’appeler au plus vite un Centre antipoison.

Singapour et la France signent un protocole d’accord pour renforcer leur coopĂ©ration concernant la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments

© Christophe Cordevant

Le 14 dĂ©cembre 2020, l’Agence nationale de sĂ©curitĂ© sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et la Singapore Food Agency (SFA) ont signĂ© un protocole d’accord (Memorandum of Understanding) pour soutenir le dĂ©veloppement de la collaboration scientifique et technique entre les deux agences dans le domaine de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments.

COVID-19 : les recommandations et travaux de l'Anses

Depuis le dĂ©but de la pandĂ©mie Covid-19, l’Anses mobilise son expertise dans ses champs de compĂ©tences - santĂ© animale, alimentation et nutrition, santĂ© au travail, etc. - pour donner au public des repĂšres utiles Ă  l’organisation de la vie quotidienne et Ă  la protection de sa santĂ© dans cette pĂ©riode exceptionnelle. A l’interface de la santĂ© humaine et animale, dans l’esprit “d’une seule santĂ©â€, l’Agence contribue Ă  apporter une rĂ©ponse aux questions soulevĂ©es par cette crise, que ce soit en termes de recherche ou d’appui Ă  la gestion.  Elle mobilise en particulier son expertise en matiĂšre de zoonoses et de coronavirus animaux pour amĂ©liorer les connaissances relatives au SARS-Cov-2. DĂ©couvrez l’ensemble des actions menĂ©es depuis mars 2020 et les derniers travaux de l’Agence.

Hépatites aiguës sévÚres suite à la consommation du complément alimentaire Chewable Hair VitaminsŸ

L’Anses recommande aux femmes sous contraception orale de ne pas consommer le complĂ©ment alimentaire Chewable Hair VitaminsÂź.

Commercialisé par la société HairBurst, le produit Chewable Hair VitaminsŸ est un complément alimentaire, sous forme de gommes à mùcher, utilisé notamment pour la vitalité des cheveux.

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