Certains cancers se déclarent à la suite d’inflammations chroniques. Des chercheurs ont découvert la responsabilité d’un type de lymphocyte particulier dans ce mécanisme.
De plus en plus de dispositifs médicaux intégrant des intelligences artificielles arrivent dans les hôpitaux. Pourtant, ils sont souvent approuvés sur la base de données cliniques limitées. Qui doit tester ces outils et selon quelles normes ?
Induire la production d’une odeur caractéristique – à base d’éthanol – chez les patients atteints de certains cancers pour les repérer à un stade précoce grâce à une simple prise de sang, telle est la stratégie qu’une équipe de chercheurs français développe avec succès depuis quelques années.
Chez les patients atteints de cette inflammation chronique de l’intestin, la perturbation d’un processus de régulation de l’expression des gènes contribuerait à entretenir l’inflammation.
Grâce à l’imagerie de pointe et à des protocoles affinés, le diagnostic de la maladie et la prise en charge des patients se sont considérablement améliorés ces dernières années, même pour les formes les plus avancées de la maladie.