Comment un « chatbot » diminue l’adhésion aux théories du complot
Une nouvelle étude montre qu’en personnalisant ses réponses et en puisant dans des ressources très vastes pour donner des arguments précis, un agent conversationnel (GPT-4 turbo) est capable de réduire sur la durée l’adhésion de son interlocuteur à une théorie du complot. Décryptage de Jean-François Bonnefon, spécialiste des interactions humains-intelligence artificielle.