La Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD)
La Semaine Européenne de la Réduction des Déchets (SERD) est une initiative de sensibilisation menée à l’échelle européenne. Elle est coordonnée en France par l’Agence de la transition écologique (ADEME).
Son objectif est de promouvoir des actions concrètes pour : – réduire la quantité de déchets générée ; – encourager des pratiques de consommation responsable.
La SERD est organisée chaque année, lors de la dernière semaine de novembre. Elle rassemble et mobilise une multitude d’acteurs : collectivités, entreprises, établissements scolaires, associations et particuliers.
Pour les participants, c’est une occasion unique de découvrir et partager des solutions efficaces pour réduire et mieux gérer les déchets. En 2023, on compte 2,5 millions de participants directs !
La Melting Coop recense 79 producteurs en circuit court et fait tourner l’épicerie et le café participatif à l’aide de 155 bénévoles par semaine (et 2 salariés seulement !)
Le principe étant que chaque contributeur puisse faire ses courses du quotidien dans l’épicerie et donne en échange 3 heures par mois de son temps bénévolement.
Une dynamique locale inspirante !
Les participants de la Scan Party ont contribué à entrer les données sur les produits et leurs emballages sur la base d’Open Food Facts, tout ça dans une ambiance conviviale !
Vous aussi, ça vous tente d’organiser une Scan Party ?
Découvrez notre mini-guide ici. Et n’hésitez pas à nous en parler, afin qu’on mobilise la communauté locale et qu’on vous partage des visuels de communications, les bonnes pratiques, etc.
Dr. Aulesa, PhD, émérite de biochimie à l’hôpital Valle d’ Hebron, Barcelone (Espagne), et auteur/co-auteur de 98 publications (ResearchGate.net).
En devenant émérite, j’ai trouvé plus de temps pour me consacrer à l’un de mes passe-temps : la nutrition. Je suis convaincu que l’alimentation est le principal médicament de l’être humain.
En tant que biochimiste, j’ai toujours été intéressé par la composition des aliments. Cependant, jusqu’à récemment, déchiffrer les petites étiquettes des produits alimentaires était une tâche compliquée. Avec l’arrivée des applications mobiles sur nos téléphones, analyser les aliments est devenu beaucoup plus simple. En Espagne, des applications comme Yuka et, au niveau international, Open Food Facts, ainsi que des systèmes de classification comme Nutri-Score, Nova et Eco-Score, ont permis d’identifier plus facilement les produits sains et d’exclure de mon alimentation ceux qui sont les moins bénéfiques.
Ligne de recherche
Dans cette nouvelle étape de ma vie professionnelle, mon principal axe de recherche a été l’analyse d’une boisson controversée : le kombucha. Au cours des cinq dernières années, nous avons assisté à son expansion rapide sur les marchés européens, alimentée par son succès aux États-Unis et promue et supervisée par Kombucha Brewers International (KBI). Des multinationales telles que PepsiCo, Coca-Cola, Danone, Tesco, Amazon Fresh et Unilever la produisent à un niveau industriel.
Le Kombucha est une boisson fermentée à partir de thé vert ou noir, utilisant une culture symbiotique de bactéries et de levures (SCOBY) pendant 7 à 10 jours. Chaque kombucha est unique et possède des caractéristiques spécifiques, puisque sa composition varie en fonction des bactéries et levures impliquées, ainsi que des facteurs de production tels que la température et l’humidité de chaque région, qui favorisent la croissance spécifique de certaines bactéries et levures SCOBY.
En plus de la production industrielle, le kombucha peut être fabriqué de manière artisanale (fait maison), hors des circuits commerciaux. Il est également possible de l’acheter auprès de petits producteurs locaux, encourageant la consommation locale et évitant l’inclusion de conservateurs, édulcorants et arômes artificiels.
Mon intérêt pour l’étude du kombucha réside dans la diversité apportée par son processus de fermentation avec le SCOBY. J’ai appliqué l’analyse statistique à la composition de différentes marques dans le monde, à l’aide d’outils tels que Open Food Facts.
Lors de mes études, j’ai conclu que le kombucha est une boisson riche en antioxydants, anti-inflammatoires, vitamines, acides aminés essentiels et minéraux. Sa consommation doit cependant être modérée <340 g/jour et, de préférence, artisanale ou locale, pour soutenir l’économie circulaire, le recyclage des emballages et éviter les additifs alimentaires.
Axe de recherche actuel
Actuellement, je mène une revue de littérature avec méta-analyse sur un produit alimentaire controversé. L’objectif est d’analyser les preuves cliniques disponibles pour évaluer son efficacité et sa sécurité sur la santé humaine.
Expérience avec Open Food Facts
Grâce à la disponibilité de bases de données mondiales de produits, j’ai pu réaliser des analyses statistiques comparatives sur la composition de différentes variétés de kombucha, en identifiant les caractéristiques et additifs spécifiques à chaque pays.
Je vous encourage à effectuer des recherches en utilisant Open Food Facts, qui est un instrument fiable pour analyser les marchés alimentaires.
– Carlos Aulesa
Mon objectif est d’approfondir l’interprétation des données, en soutenant la recherche qui améliore la compréhension des produits alimentaires et de leur impact sur la santé humaine. Je suis convaincu qu’avec une approche scientifique rigoureuse, nous pouvons avancer de manière significative dans ce domaine, au bénéfice à la fois de la communauté scientifique et des consommateurs, et des plateformes collaboratives comme Open Food Facts nous facilitent cette tâche.
Littérature – Aulesa C., Gongora C. Kombucha: Probiotic beverage or Ultra-Processed Food? A Global Review Using Nutritional Classification. Functional Foods in Health and Disease 2023; 13(12):690-701. doi: https://www.doi.org/10.31989/ffhd.v13i12.1236 – Aulesa C., Gongora C.Classification of Kombucha Using Nutri-Score and Nova Nutrition Rating Scales .international Journal of Probiotics and Prebiotics. vol 19,00 1-6,2024 https://doi.org/10.37290/ijpp2641-7197.19:19-24
Plus de 90% des références de confiseries vendues en France par Haribo, Lutti, Carambar ou encore Chupa Chups obtiennent les deux plus mauvaises notes de l’indicateur nutritionnel, D ou E. Consultez notre moteur de recherche.
Une étrange absence. En arpentant le rayon confiseries de votre supermarché pour Halloween, vous aurez bien du mal à trouver le Nutri-Score. Il ne s’agit pas d’un vilain sort jeté par une sorcière dopée au sucre. En réalité, aucune grande marque nationale, comme Haribo, Lutti, Carambar ou Chupa Chups, n’a décidé d’inscrire ces petites lettres colorées sur l’emballage de ses bonbons. « Les industriels refusent d’afficher la réalité de la qualité nutritionnelle de leurs produits parce qu’elle n’est pas optimale pour la santé », tacle le créateur du Nutri-Score, Serge Hercberg. Mais il est possible de contourner ce manque de transparence.
Le Nutri-Score, qu’il n’est pas obligatoire d’afficher en France, est calculé à partir d’un algorithme public, créé par des scientifiques. Cette formule complexe prend en compte différentes données nutritionnelles (quantité de sel, de sucre, de gras, de fibres, de protéines, etc.) qui sont, elles, obligatoirement inscrites sur tous les emballages des produits transformés. « Ce tableau incompréhensible et illisible que l’on trouve aux dos des paquets », raille Serge Hercberg. Le Nutri-Score est une sorte de résumé digeste de tout cela.
Pour éviter de sortir votre calculette au supermarché, le site collaboratif Open Food Facts, en collaboration avec Santé publique France, permet de connaître le Nutri-Score de quasiment tous les produits disponibles, en un clic. L’association s’appuie sur plus de 100 000 contributeurs dans le monde qui ont envoyé les photos de plus de trois millions de produits dans sa base de données. Toutes les références de bonbons vendues en France et compilées par le site figurent dans le moteur de recherche ci-dessous.
D comme Dragibus
Au rayon confiseries, les marques les plus connues cachent des classements peu reluisants, en raison de produits à forte teneur en sucre, et parfois en graisses. Pas vraiment une surprise pour des bonbons. « C’est purement une consommation plaisir », justifie Pascal Zundel, président des Confiseurs de France, qui représente les entreprises du secteur, des PME aux géants de l’agroalimentaire.
Chez le numéro un de la confiserie, Haribo, les Dragibus – bonbons les plus vendus en France selon l’entreprise – sont classés D. Tout comme les fraises Tagada, les Schtroumpfs, les Croco et les œufs au plat. Les Zanzigliss, un assortiment de bonbons au goût réglisse, sont classés E, la plus mauvaise note du Nutri-Score. Chez Lutti, les Bubblizz, les Scoubidou et les Longfizz sont également classés D. La note se dégrade à E pour les Koala et les Smoodou. Seuls les Arlequin « sans sucres » s’en sortent mieux avec un classement B.
Parmi les bonbons les plus scannés sur Open Food Facts, on retrouve également les TicTac, les Skittles, les Krema Régal’ad et les sucettes Chupa Chups, tous classés D. Les Têtes brûlées fraise et framboise et les Carambar au caramel sont, eux, classés E. Au total, sur les 5 697 produits référencés par l’association, plus de 90% présentent un Nutri-Score D ou E. A l’inverse, seuls 0,5% de ces produits sont classés A et environ 4% obtiennent la lettre B ou C.
Un indicateur adapté aux bonbons ?
Du côté des industriels, on assure que le Nutri-Score « n’a pas de sens » pour ce type de denrées. « C’est un système tout à fait approprié pour des aliments qui se consomment dans des volumes relativement importants et qui contribuent significativement au régime alimentaire, mais c’est une aberration pour les confiseries », assure Pascal Zundel. Il rappelle ainsi que le Nutri-Score est basé sur une quantité de 100 grammes, soit bien plus qu’une portion quotidienne de bonbons.
Un argument réfuté par Serge Hercberg. Selon lui, cet indicateur permet d’abord de comparer des produits au sein d’un même rayon. « Il ne s’agit pas d’interdire de manger des confiseries, mais de savoir très rapidement que certains bonbons sont un peu moins sucrés que d’autres », explique le professeur de nutrition à l’université Sorbonne Paris Nord.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) recommande ainsi de ne pas consommer plus de 100 g de sucres totaux par jour pour les adultes, 75 g pour les enfants de 8 à 12 ans et 60 g pour les enfants de 4 à 7 ans. Il faut ainsi « limiter la consommation » de confiseries, selon le guide alimentaire pour tous, édité par le ministère de la Santé (PDF).
Changement de recettes
De nombreux chercheurs estiment désormais qu’il faudrait rendre le Nutri-Score obligatoire sur tous les emballages pour renforcer son impact, comme en témoigne cette tribune dans Le Monde.« Cela pousserait les industriels à améliorer un peu leurs formules pour que leurs produits soient moins gras ou moins sucrés », espère Serge Hercberg. Une étude, publiée en mars 2024 dans la revue European Review of Agricultural Economics, montre en effet que l’affichage de cet indicateur force les industriels à modifier leurs recettes afin d’obtenir une meilleure note pour séduire les consommateurs.
Alors, les lettres colorées vont-elles bientôt faire leur apparition sur tous les paquets de bonbons ? La partie semble loin d’être gagnée. Après des mois d’attente, la France n’a toujours pas mis en place les nouvelles règles du Nutri-Score qui devaient entrer en vigueur au 1er janvier 2024. Plusieurs ministres du gouvernement Barnier ont également affiché leur hostilité à cet indicateur.
En tant que projet citoyen, chez Open Food Facts nous dépendons de chacun d’entre vous pour avoir un impact, et nous voulons vous remercier chaleureusement de faire partie du projet .
Chaque année, nous entamons une nouvelle saison de collecte de fonds pour notre association à but non lucratif et chaque aide est la bienvenue.
Tout ce qu’Open Food Facts produit et met à la disposition des consommateurs, des réutilisateurs de données et des chercheurs est 100 % GRATUIT.
Pourquoi ?
Mais il faut des compétences, du temps et des efforts pour:
maintenir et améliorer l’infrastructure,
soutenir la communauté des contributeurs et des nouveaux membres,
créer des synergies fructueuses avec d’autres acteurs (comme ceux des communs numériques, les agences publiques, les ONG, la communauté scientifique, les producteurs de denrées alimentaires),
chercher des fonds pour des projets spécifiques – pour ne citer que quelques-unes de nos activités quotidiennes.
Ces dons individuels que nous collectons, des plus modestes aux plus généreux, sont essentiels, car ils financent la maintenance du bien commun qu’est Open Food Facts.
Open Food Facts est fondamentalement une communauté de contributeurs bénévoles, et les journées communautaires du mois de septembre nous ont permis une nouvelle fois de la solidifier. (lire l’article de blog sur l’édition 2024)
Toutefois, Open Food Facts est aussi partie prenante d’une multitude d’acteurs qui composent notre système alimentaire – à savoir des professionnels de divers horizons.
Le jeudi 10 octobre 2024 a été l’occasion pour l’équipe permanente d’encadrer une journée dédiée aux professionnels, pour sa deuxième édition. Un immense merci à l’équipe d’Open Data Soft, pour leur accueil chaleureux au sein de leurs superbes locaux avec une vue incroyable !
Dans le même esprit que le week-end communautaire, cette journée a pour objectif de faire émerger des initiatives et des points de vue autour des sujets de l’alimentation et des communs numériques.
Voici un aperçu de cette journée riche en profils et en interventions:
Une présentation des projets en cours, et des horizons à venir.
Un temps de networking, particulièrement propice pour nouer des liens et connecter avec d’autres professionnels sur l’alimentation et les communs numériques.
Trois intervenants ont témoigné de leurs différents usages d’Open Food Facts.
Deux tables rondes avec des intervenants divers et passionnants.
Première table ronde au sujet des « Nouveaux comportements des consommateurs : vers une alimentation toujours plus informée. »
Une seconde table ronde sur “Pourquoi et comment entretenir un commun numérique sur la question de l’alimentation ?”
Avec Christophe Echement pour l’application Ping Price, Virgile Deville pour beta.gouv (au micro), Vincent B. en tant que membre de CA d’Open Food Facts – animée par Charlotte (alternante équipe support producteurs).
Cela fait quelques mois que nous attendions avec impatience de nous retrouver en tant que communauté !
Nous continuons de penser que nos week-ends annuels ne seront pas toujours à Paris ou en France, mais cette année, nous avons pu obtenir le même lieu – l’Académie du Climat, gratuitement, grâce à la ville de Paris.
Et la communauté est à nouveau venue en force cette année, en septembre. Nous avons accueilli des contributeurs de différentes villes de France, mais aussi d’Autriche, de Belgique, du Danemark, d’Allemagne, d’Italie, des Pays-Bas et du Royaume-Uni (Angleterre et Écosse).
“Thank you for a great weekend of open-food-facting! ” James (Scotland)
Samedi 21 septembre – Jour 1
Nous avons eu la chance de débuter la journée du samedi sous le ciel bleu parisien, et chacun a pu profiter de viennoiseries et de café chauds avant le lancement du programme.
Les membres de l’équipe permanente ont lancé le week-end avec une présentation de l’avancée du projet et des perspectives futures. Parmi elles, Raphaël B. (ingénieur en Machine Learning) a parlé de Nutri-Patrol (nouvel outil de modération), de la nouvelle version du Nutri-Score, ou encore du développement d’Open Product Facts. Puis nous avons clôturé cette introduction avec un géant icebreaker pour permettre à chacun d’apprendre à connaître les autres participants. Bingo !
Suite à cela, c’est la communauté elle-même qui a pris la parole sous la forme de plusieurs présentations éclair, mettant en avant différents sujets tels que les prix, les personas, les financements ou encore l’industrie alimentaire.
L’équipe permanente d’Open Food Facts a disparu : reconstruire le projet à partir de zéro
Open Food Facts dans votre pays : création d’une carte pour mettre en lien les communautés locales
Comment atteindre un public plus jeune ?
Modification du wiki pour améliorer la qualité de certaines pages
Démonstration de l’éditeur de taxonomie pour ajouter des ingrédients dans votre pays
La Malédiction du Cordon Bleu : jeu de carte sur la malbouffe industrielle et ses conséquences sur la santé.
Des contribu-teurs/-trices recompensé.es
Après plusieurs heures d’échanges, de création et de réflexions, nous avons clôturé cette journée de travail avec une remise des prix, destinée à récompenser les contribu-teurs/trices les plus engagé.es au cours des dernières années.
Cette année, les trophées ont été attribués à :
Raphaël Odini : initiateur du projet Open Prices, né lors des journées Open Food Facts 2023
M. Tanuki : Contributeur majeur de l’app mobile depuis sa sortie
Alex F. : Contributeur investi sur Hunger Games, sur l’ajout de produits, ainsi qu’un fidèle représentant du projet sur divers événements.
telperion87 : Plus gros contributeur italien de tous les temps et le 3e plus grand éditeur d’Open Food Facts.
Marie : Contributrice investie dans la qualité des données et l’édition des produits.
Annelotte : Contributrice fidèle dans les traductions et l’ajout des produits.
Segundo : 2e plus gros éditeur Open Food Facts.
Cette remise des prix n’exclut pas, bien sûr, de vous remercier tous, contributeurs et contributrices, sans qui le projet Open Food Facts ne serait pas aussi avancé… A qui les prochains trophées de l’édition 2025 ?
Chin chin
La fin de cette première journée s’est terminée sur un apéro scan-party, activité signature de notre communauté, et où les bouteilles de vin ont fait partie de l’exercice pour la première fois !
“Indéniablement, le congrès le plus « friendly » auquel j’ai participé cette année!”
– Arthur Delcourt, Aktina ASBL
“Samedi était une très bonne journée, bien organisée et inspirante; Bravo pour le travail réalisé !”
Florence Devouard, au conseil d’administration Open Food Facts et ancienne présidente du conseil d’administration à la fondation Wikimedia
Dimanche 22 septembre – jour 2
Le dimanche matin a été l’occasion d’écouter une nouvelle session de présentations éclair proposées par des participants très divers :
“It was fabulous to be back in Paris, speaking French with intelligent people equally motivated as me to change the world of nutrition for the better. Oh and the croissants were fabulous too.”
Le reste de dimanche a été dédié à un Hackathon (qui vise à la création collaborative autour d’une thématique précise) où les participants se sont rassemblés en plusieurs groupes pour faire naître leurs idées du samedi.
La fin du programme a été rythmée par les restitutions de chaque équipe aux reste des participants. Ce fut formidable de voir ce qui fut imaginé en espace d’un weekend ! Nous espérons continuer de bâtir sur les initiatives qui sont nées lors de cette dernière édition.
Ce n’est un au revoir
Et comme toutes les belles choses ont une fin, nous sommes tous repartis dans nos environnements respectifs, la tête et le cœur bien remplis !
“Ce week-end était exceptionnel, riche en rencontres comme en idées (…) je me suis immédiatement senti à l’aise et légitime alors même que je ne connaissais aucun d’entre vous.”
– Antoine D., Framasoft
“Thank you for allowing us to meet so many wonderful people. Together we will get there.”
– Claude, Atkina
Nous tenons une nouvelle fois à vous remercier chaleureusement pour votre venue. Ce projet à l’envergure internationale ne serait pas aussi soudé sans ces moments communautaires de rassemblement physique.
Si chacun d’entre nous poursuit ses engagements et continue de croire en ses convictions, nous parviendrons à faire encore grandir le projet Open Food Facts dans les années à venir.
N’hésitez pas à nous faire part de vos avis, améliorations, idées… pour les prochaines éditions. Vos retours sont des inspirations pour nous afin de toujours essayer de nous améliorer dans l’organisation !
Merci également à nos photographes, Cathy & Charlotte, pour ces belles images de ce weekend magique.
A très bientôt, sur le Slack, le forum, en visio ou aux événements… Et on espère, à l’année prochaine !
Prenez soin de vous,
L’équipe permanente Open Food Facts
“Les Journées OFF – Un week-end fruité avec la communauté OpenFoodFacts !
Ce week-end, j’ai eu la chance de participer aux Journées OFF, un événement incontournable pour la communauté d’Open Food Facts. Ce fut une formidable opportunité de collaborer, d’apprendre et de partager des moments passionnants avec des personnes animées par la même mission : rendre l’alimentation plus transparente à l’échelle mondiale !
J’ai été inspiré par l’enthousiasme et la créativité de cette communauté internationale qui contribue à améliorer la base de données des produits alimentaires et à promouvoir une consommation plus responsable.”
-Valentin, développeur en alternance chez Open Food Facts
Open Food Facts, représenté par Pierre Slamich, a été l’invité de l’excellent podcast Jeunes Pousses (Futura Sciences) le 19 septembre 2024.
Jeunes Pousses, c’est le rendez-vous de l’innovation positive. Un jeudi sur deux, Thibault Caudron vous invite rencontrer les entrepreneurs et entrepreneuses qui ont choisi de construire un monde meilleur. Tech, santé, mobilité, agriculture, environnement, énergie, accessibilité, sport, chaque interview se concentre une problématique qui nous concerne toutes et tous et ouvre le débat avec nos invités sur leur vision de ces grands défis, ainsi que sur les solutions qu’ils ont mises en place pour y répondre. Que vous souhaitiez agir pour la planète, monter votre startup ou simplement prendre part à ces échanges, abonnez-vous dès maintenant sur votre app audio de prédilection pour rejoindre le mouvement de la tech for good.
A propos de cet épisode
Comment les notes, scores et labels peuvent-ils nous aider à mieux manger ?
La transparence alimentaire est un sujet qui préoccupe de plus en plus les consommateur·ice·s, en particulier depuis la crise Covid. 80 % des Français·e·s déclarent aujourd’hui rechercher régulièrement des informations sur le lieu d’origine du produit, 81 % sur sa composition, et 61 % sur ses effets sur la santé.
Dans ce domaine, les technologies ont permis de développer des solutions pour répondre à ce besoin de transparence, comme Open Food Facts, une base de données de produits alimentaires surnommé le « Wikipédia de l’alimentation ». Cette semaine, dans Jeunes Pousses, Thibault Caudron reçoit Pierre Slamich, directeur produit d’Open Food Facts, pour faire la lumière sur les labels, leur fonctionnement et l’utilisation que l’on peut en faire.
Je contribue depuis 10 ans à Open Food Facts sous le pseudonyme « Tacite », sinon dans la vie quotidienne je suis secrétaire administratif dans le nord de la France et j’ai 33 ans.
Les journées Open Food Facts 2024 – une occasion unique de promouvoir la transparence alimentaire en tant que communauté !
La grande nouvelle, c’est que nos journées communautaires sont de retour en septembre !
Si vous souhaitez y participer, ne manquez pas les informations/actions importantes dans cet article.
En cette année olympique pour la France , Open Food Facts célèbre ses champions – les membres de sa communauté à travers le monde ! Il n’y a pas de meilleur moment que ce week-end pour se rencontrer, plonger plus profondément dans Open Food Facts, apprendre et construire ensemble !
Nous espérons que vous pourrez vous joindre à nous pour notre week-end communautaire les 21 et 22 septembre 2024.
Le nombre de places étant limité, inscrivez-vous dès que possible (cela aide aussi beaucoup l’équipe d’organisation !).
Il n’y a pas de frais de participation. Cependant, vous pouvez « réserver votre déjeuner » dès maintenant en donnant 20€ (nous avons besoin de cette information dès que possible pour réserver).
Si vous souhaitez proposer une présentation, une activité amusante pour la construction de la communauté ou si vous avez des questions, veuillez nous écrire à contact@openfoodfacts.org
Les retours des participants des années précédentes !
Rejoignez l’équipe Évènement pour aider
Cette année, nous aimerions demander à certains d’entre vous de nous aider pendant ces deux jours. Il y a plusieurs missions, comme tenir un stand découverte Open Food Facts pour les nouveaux arrivants, aider avec le stand café, peut-être la traduction, la facilitation dans les ateliers, le chronométrage, etc.
Si vous souhaitez donner un coup de main à la « Team Event », contactez Gala : gala@openfoodfacts.org
Le SIAL est une plateforme mondiale d’événements B2B consacrés à l’industrie agroalimentaire, qui se donne pour ambition d’accompagner le secteur — et toutes ses composantes — dans la mondialisation de l’alimentation et dans le développement d’ancrages locaux. (source Wikipedia)
SIAL Paris a mis en lumière Open Food Facts via l’interview de notre co-fondateur, Pierre Slamich, dans le dernier communiqué de presse du SIAL.
A l’occasion des 60 ans du SIAL, ce document célèbre 60 ans d’évolution dans l’alimentation, offre des perspectives super intéressantes sur notre industrie.