Ce ne serait pas la composition des nanofibres d’amiante qui serait impliquée dans l’inflammation pulmonaire, mais leur taille : les celllules immunitaires ne parviennent pas à les éliminer. Les fibres utilisées pour remplacer l’amiante pourraient ainsi présenter les mêmes risques.
Selon des simulations climatiques intégrant les dernières connaissances sur la photosynthèse, les plantes absorberaient plus de dioxyde de carbone atmosphérique qu’on ne le pensait. Tant mieux ! Mais ce résultat reste à confirmer et il impacte peu le réchauffement global, prévient Matthias Cuntz, directeur de recherches dans l’équipe ForeSTree.
Le corps de ces petits insectes est recouvert de structures nanoscopiques, des brochosomes. On s’attendrait à ce qu’ils augmentent la réflexion de la lumière, mais ils ont l’effet inverse. Ce paradoxe vient d’être compris.