Avec le réchauffement climatique, les arbres en ville, qui atténuent l’effet d’îlot de chaleur, se retrouvent menacés. Jonathan Lenoir, écologue au CNRS a estimé ces risques à l’horizon 2050. Il nous présente ses résultats.
En s’appuyant sur une méthode plus précise, des météorologues ont estimé que, dans un scénario d’émissions de CO2 suivant la tendance actuelle, l’augmentation de température moyenne en France sera de 3,8 °C en 2100 par rapport au début du XXe siècle. Le climatologue Saïd Qasmi, du Centre national de recherches météorologiques, nous explique ces résultats.
De gigantesques fleuves d’humidité s’écoulent dans l’atmosphère, des mers tropicales jusqu’aux continents. Ces perturbations engendrent tempêtes et pluies parfois diluviennes. Les météorologues proposent de nouvelles méthodes pour mieux les anticiper.
Après des années de tâtonnements, les climatologues déterminent désormais très vite la part due au changement climatique dans les catastrophes naturelles.
Les cycles du climat sont passés de 40 000 à 100 000 ans il y a environ 700 000 ans. En cause, une période glaciaire durant laquelle les eaux océaniques étaient anormalement chaudes.
Faut-il modifier la stratosphère pour rafraîchir l’atmosphère, en bloquant une partie du rayonnement solaire ? Certains scientifiques défendent cette forme de géoingénierie ; d’autres alertent sur notre connaissance très insuffisante des mécanismes en jeu et des risques potentiels pour la pluie et les récoltes.
Le socle rocheux préservé sous la calotte de glace raconte le passé de cette région. Des informations qui, avec d’autres, esquissent le futur de cette région aux prises avec le réchauffement climatique.
En diminuant la quantité d’énergie solaire atteignant la surface terrestre, des impacts de météorites pourraient avoir déclenché les périodes où la Terre était presque entièrement recouverte de glace.