Face à l’urgence climatique, planter certaines espèces d’arbres issus de milieux plus chauds et secs est la principale solution mise en œuvre pour aider les forêts à s’adapter. Sauf que cela risque de produire un emballement climatique, nous explique Jonathan Lenoir, écologue et biostatisticien.
Avec le réchauffement climatique, les arbres en ville, qui atténuent l’effet d’îlot de chaleur, se retrouvent menacés. Jonathan Lenoir, écologue au CNRS a estimé ces risques à l’horizon 2050. Il nous présente ses résultats.