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L'origine encore floue du COVID long

durĂ©e : 00:05:10 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Les causes du COVID long restent mal comprises et surtout sous-Ă©tudiĂ©es chez les patients ayant eu une infection lĂ©gĂšre ou modĂ©rĂ©e. Une nouvelle Ă©tude française rĂ©vĂšle de rares associations entre marqueurs sanguins et certains symptĂŽmes. Il n’y aurait pas un COVID long, mais des COVID longs.

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La gĂ©ologie au service de l'enquĂȘte : crime et sĂ©diments

durĂ©e : 00:58:26 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - Loin d'ĂȘtre de simples cailloux, l'Ă©tude des roches vient complĂ©ter la panoplie d’outils dont disposent les enquĂȘteurs pour rĂ©soudre des affaires criminelles ou historiques. Quelles informations leurs composants viennent-ils apporter pour qui sait les “lire” ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Patrick de Wever GĂ©ologue, professeur Ă©mĂ©rite au MNHN. ; Richard Marlet Commissaire divisionnaire honoraire français

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Essais nucléaires en Polynésie : l'éclairage scientifique oublié dans la décision politique ?

Cet article est une adaptation de la tribune publiĂ©e sur la version en ligne du magazine Le Point le 12 avril 2025. AprĂšs avoir rĂ©alisĂ© 17 essais nuclĂ©aires, dont 4 dits « atmosphĂ©riques », dans le Sahara algĂ©rien entre 1960 et 1966, l'État français s'est tournĂ© vers la PolynĂ©sie oĂč 193 tirs nuclĂ©aires ont Ă©tĂ© effectuĂ©s entre 1966 et 1996 dans le cadre du Centre d'ExpĂ©rimentation du Pacifique (CEP). Les essais Ă©taient souterrains Ă  partir de 1975, ce qui limitait trĂšs fortement la (
) Articles

Comment dĂ©tecter les secrets souterrains grĂące au gĂ©oradar ?

durĂ©e : 00:08:06 - La Science au labo - par : LoĂŻc Duthoit - Pour rĂ©soudre une enquĂȘte, il faut parfois chercher la vĂ©ritĂ© oĂč elle a Ă©tĂ© ensevelie. Et quand cela arrive, les outils gĂ©ologiques qui permettent de sonder ce qu’il y a sous nos pieds, comme le gĂ©oradar, deviennent trĂšs utiles. - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Michel Dabas Directeur de recherche au CNRS, et co-directeur du laboratoire d'archĂ©ologie de l'Ecole Normale SupĂ©rieure de Paris (AOROC)

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MathĂ©matiques : dĂšs le dĂ©but du CP, un fossĂ© se creuse entre filles et garçons

durĂ©e : 00:05:24 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Alors qu’à l’entrĂ©e Ă  l’école Ă©lĂ©mentaire, filles et garçons ont le mĂȘme niveau en maths, un Ă©cart important apparaĂźt en seulement 4 mois et s'accroĂźt ensuite. Cette nouvelle Ă©tude menĂ©e sur prĂšs de 3  millions d’élĂšves pointe le rĂŽle du cadre scolaire dans l’amplification des biais de genre. - invitĂ©s : Pauline Martinot mĂ©decin spĂ©cialiste de santĂ© publique et du dĂ©veloppement de l’enfant, docteur en neurosciences

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Rien ne sert de mourir ? La théorie de l'évolution et le vieillissement

Cet article fait suite Ă  une confĂ©rence donnĂ©e en novembre 2023 par l'auteur et organisĂ©e par l'Afis. Elle peut ĂȘtre visionnĂ©e sur la chaĂźne YouTube de l'association. Le vieillissement et la mort naturelle font assurĂ©ment partie des expĂ©riences humaines les plus puissantes et les plus universelles, mais aussi les plus nĂ©gatives. Ils prennent des formes Ă  la fois stĂ©rĂ©otypĂ©es et trĂšs diverses, avec des pathologies du grand Ăąge diffĂ©rentes d'un individu Ă  l'autre. Un des rares traits communs (
) Articles

Archéologie aborigÚne, les vestiges du présent

durĂ©e : 00:58:45 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - Si notre prĂ©histoire occidentale n’évoque pas pour nous une mĂ©moire vivace, ce n’est pas le cas pour les AborigĂšnes d’Australie, dont les traditions et les pratiques ont traversĂ© les millĂ©naires. Comment Ă©tudier cette continuitĂ© culturelle ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Jean-Jacques Delannoy Anthropo-geomorphologue, professeur Ă  l’UniversitĂ© Savoie Mont Blanc (EDYTEM), et membre du Centre d'Excellence pour la BiodiversitĂ© et le Patrimoine Australien.; Arnaud Morvan Chercheur en anthropologie et histoire de l’art autochtone au laboratoire Ă  l’UniversitĂ© de Brest et de Melbourne, spĂ©cialisĂ© dans l’étude de l’art aborigĂšne australien.

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AborigĂšnes : peindre les mythes sur l'Ă©corce

durĂ©e : 00:10:16 - La Science au labo - par : LoĂŻc Duthoit - La transmission des mythes aborigĂšnes passe par diverses pratiques artistiques qui s’entrelacent au cours des cĂ©rĂ©monies. Un des mĂ©dias traditionnels de ces peuples est la peinture sur Ă©corce. - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Jessica De Largy Healy Chercheuse post-doctorante au MusĂ©e du quai Branly

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Traité de psychologie sociale

TraitĂ© de psychologie sociale La science des interactions humaines Laurent BĂšgue-Shankland De Boeck SupĂ©rieur, 2e Ă©dition, 2024, 862 pages, 42,90 € Cet ouvrage est actuellement, en français, l'ouvrage le plus complet sur la psychologie sociale, la discipline qui analyse le conditionnement des pensĂ©es, des affects et des actions par des interactions humaines. Notons que la frontiĂšre entre la psychologie sociale et la psychologie gĂ©nĂ©rale est floue : les deux disciplines traitent par (
) Notes de lecture

Le James Webb Ă  la recherche des premiĂšres lueurs du cosmos

durĂ©e : 00:04:43 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Le tĂ©lescope spatial James Webb a obtenu l’image la plus profonde jamais rĂ©alisĂ©e de l’Univers grĂące Ă  une "loupe" naturelle. Ces galaxies datent de 220 millions d’annĂ©es aprĂšs le Big Bang et l’une d’elles pourrait abriter les toutes premiĂšres Ă©toiles de l'Univers.

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PubertĂ©, j’écris ton nom

durĂ©e : 00:58:31 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - La pubertĂ© s’étale sur environ 4 ans, permettant aux organes reproducteurs d’arriver Ă  maturitĂ©. Elle est dĂ©clenchĂ©e par la rĂ©activation de l’axe gonadotrope, reliant cerveau et organes gĂ©nitaux, en sommeil depuis la naissance. Quels sont les mĂ©canismes qui sous-tendent la production des hormones ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Nicolas de Roux MĂ©decin, professeur de biochimie Ă  l’universitĂ© Paris-CitĂ© et responsable de l’équipe INSERM “GĂ©nĂ©tique et physiologie de l’initiation de la pubertĂ©â€ de l’Institut Robert-DebrĂ© du Cerveau de l'Enfant; Jean-Claude Carel Chef de service Endocrinologie-DiabĂ©tologie PĂ©diatrique Ă  l’hĂŽpital Robert-DebrĂ©, professeur de pĂ©diatrie Ă  l’universitĂ© Paris-CitĂ© et chercheur dans l’équipe INSERM “GĂ©nĂ©tique et physiologie de l’initiation de la pubertĂ©â€ de l’Institut Robert-DebrĂ© du Cerveau de l'Enfant

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Comment Ă©tudier les implications de la mini pubertĂ© chez la souris ?

durĂ©e : 00:08:04 - La Science au labo - par : Lou Angey - Lors d’une phase transitoire prenant place peu aprĂšs la naissance, les niveaux d’hormones sexuelles produites par l’ovaire sont similaires, voire supĂ©rieurs, Ă  celles des femmes adultes. Cette phase, dite mini-pubertĂ©, est conservĂ©e chez les mammifĂšres, mais son rĂŽle physiologique reste mal compris. - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : CĂ©cile Guigon Chercheuse en endocrinologie et physiologie de la reproduction, spĂ©cialisĂ©e dans l’étude de la mini-pubertĂ© au sein de la facultĂ© de pharmacie de Paris CitĂ©.; Noalig Wickens Jeune chercheuse en endocrinologie et physiologie au sein de la facultĂ© de pharmacie de Paris CitĂ©.

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Les poissons-lanternes pris au piĂšge par une barriĂšre thermique

durĂ©e : 00:04:36 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une nouvelle Ă©tude rĂ©vĂšle l'existence d'une barriĂšre thermique autour de 8 °C qui sĂ©pare deux communautĂ©s de poissons-lanternes. Avec le changement climatique, cette frontiĂšre invisible recule et emprisonne les espĂšces australes.

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Au pire, ça ne peut pas faire de mal ?

Les promoteurs et les utilisateurs des pratiques de soins alternatives voient souvent ces derniĂšres comme inoffensives, d'oĂč l'usage frĂ©quent du terme de « mĂ©decine douce », par opposition Ă  la mĂ©decine fondĂ©e sur les preuves qui est prĂ©sentĂ©e comme agressive et source d'effets indĂ©sirables. Et mĂȘme si l'efficacitĂ© de ces pratiques est remise en cause, cette prĂ©tendue absence d'effets secondaires est souvent mise en avant et constitue un argument : on ne perd rien Ă  essayer, puisque mĂȘme si (
) Les « mĂ©decines alternatives »

ExoplanĂštes : super-Terres en vue

durĂ©e : 00:58:42 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - Dans l’immensitĂ© de l’espace et cachĂ©es par la lumiĂšre Ă©blouissante de leurs Ă©toiles, les planĂštes de la taille de la Terre sont difficiles Ă  repĂ©rer. Les astrophysiciens se sont donc rabattus sur des mondes plus imposants : les “super-Terres”. Alors que cache ce concept et comment a-t-il Ă©mergĂ© ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Martin Turbet Chercheur CNRS au Laboratoire de mĂ©tĂ©orologie dynamique (LMD) Ă  Sorbonne UniversitĂ© et au Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux; Franck Selsis Directeur de recherche CNRS au Laboratoire d'Astrophysique de Bordeaux et cofondateur du festival annuel Hypermondes de MĂ©rignac

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Détecter des exoplanÚtes par effet de microlentille gravitationnelle

durĂ©e : 00:08:06 - La Science au labo - par : LoĂŻc Duthoit - Il existe plusieurs techniques pour dĂ©tecter des exoplanĂštes. L'une d'entre elle consiste Ă  observer comment une masse peut dĂ©vier la lumiĂšre d'une Ă©toile lointaine. - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Arnaud Cassan Astrophysicien Ă  l’Institut d’Astrophysique de Paris, maĂźtre de confĂ©rences Ă  la Sorbonne

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Quand des enfants réécrivent l’histoire humaine

durĂ©e : 00:04:41 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Trois fossiles ĂągĂ©s de 2 millions d’annĂ©es montrent que les enfants Homo habilis et Homo erectus prĂ©sentaient dĂ©jĂ  trĂšs tĂŽt des caractĂšres distincts. Leurs diffĂ©rences suggĂšrent l’existence d’un ancĂȘtre commun encore plus ancien, juste aprĂšs la disparition de Lucy. - invitĂ©s : JosĂ© Braga Biologiste de l’évolution, professeur Ă  l’UniversitĂ© Paul Sabatier de Toulouse et associĂ© Ă  l’UniversitĂ© de Witwatersrand Ă  Johannesburg, et responsable d’une mission palĂ©oanthropologique sur le site sud africain Kromdraai.

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L’énigme d’Irhoud : un si vieux Sapiens 4/4 : Le verdict scientifique

durĂ©e : 00:15:16 - Les Aventuriers de l'archĂ©ologie - par : Jean-Jacques Hublin - La dĂ©couverte de restes humains sur le site de Jebel Irhoud au Maroc a bouleversĂ© la perception de l’histoire de notre espĂšce, Homo sapiens. AprĂšs les fouilles archĂ©ologiques, l’enquĂȘte se poursuit en laboratoire avec, notamment, un long processus d’identification. - rĂ©alisation : Assia Veber - invitĂ©s : Jean-Jacques Hublin PalĂ©oanthropologue, titulaire de la chaire de palĂ©oanthropologie au CollĂšge de France.

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L’énigme d’Irhoud : un si vieux Sapiens 3/4 : Les corps refont surface

durĂ©e : 00:15:30 - Les Aventuriers de l'archĂ©ologie - par : Jean-Jacques Hublin - Quarante ans aprĂšs la dĂ©couverte d’un crĂąne et d’une mandibule d’enfant Ă  Jebel Irhoud, les fouilles reprennent sur le site marocain. Personne ne le sait encore, mais les fossiles mis au jour appartiennent au plus vieux Homo sapiens jamais dĂ©couvert. - rĂ©alisation : Assia Veber - invitĂ©s : Jean-Jacques Hublin PalĂ©oanthropologue, titulaire de la chaire de palĂ©oanthropologie au CollĂšge de France.

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L’énigme d’Irhoud : un si vieux Sapiens 2/4 : Retour sur la scĂšne de crime

durĂ©e : 00:13:59 - Les Aventuriers de l'archĂ©ologie - par : Jean-Jacques Hublin - À partir de 2004, le site de Jebel Irhoud au Maroc, sur lequel une mandibule d’enfant a Ă©tĂ© dĂ©couverte en 1961, fait l’objet de nouvelles fouilles. Mais pour y mener Ă  bien des recherches archĂ©ologiques, il faut rendre le site accessible. - rĂ©alisation : Assia Veber - invitĂ©s : Jean-Jacques Hublin PalĂ©oanthropologue, titulaire de la chaire de palĂ©oanthropologie au CollĂšge de France.

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[Paris - 30 août 2025] Festival « Et la science ?! »

Les associations Ecohumans et Afis organisent un festival : Et la science ?! Festival pour des dĂ©cisions politiques Ă©clairĂ©es par la science : redonnons leur place aux faits scientifiques et techniques au cƓur de nos choix dĂ©mocratiques. Acceuilli par le Conservatoire national des arts et mĂ©tiers (CNAM). Pourquoi ce festival ? ‱ Parce que la dĂ©sinformation scientifique affecte directement la santĂ© publique, le climat et l'avenir dĂ©mocratique de notre sociĂ©tĂ©. ‱ Parce que les citoyens (
) Agenda de l'Afis

L’énigme d’Irhoud : un si vieux Sapiens 1/4 : Un dossier classĂ© trop vite

durĂ©e : 00:16:55 - Les Aventuriers de l'archĂ©ologie - par : Jean-Jacques Hublin - En 2017, une certitude vacille : nos origines seraient bien plus anciennes qu’on ne le pensait. La nouvelle fait le tour du monde. Tout a commencĂ© plusieurs dĂ©cennies auparavant, dans une mine du sud-marocain. - rĂ©alisation : Assia Veber - invitĂ©s : Jean-Jacques Hublin PalĂ©oanthropologue, titulaire de la chaire de palĂ©oanthropologie au CollĂšge de France.

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Sous le Soleil, scientifiquement

durĂ©e : 00:58:35 - Sciences chrono - par : Antoine Beauchamp - Avec le dĂ©veloppement de nouveaux instruments d’observation et de thĂ©ories physiques au XXe l’astronomie descriptive est devenue une astrophysique expliquant le fonctionnement des Ă©toiles. Retour sur cette pĂ©riode de transition avec pour fil rouge, une question : pourquoi le Soleil brille-t-il ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Jean-Philippe Uzan Cosmologiste, directeur de recherche au CNRS Ă  l'Institut d'astrophysique de Paris, et physicien thĂ©oricien au CNRS.

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La photosynthĂšse existait dĂ©jĂ  il y a 2,87 milliards d’annĂ©es

durĂ©e : 00:04:58 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - En s'appuyant sur une nouvelle mĂ©thode de datation, une Ă©tude met fin Ă  une controverse sur l'origine de la photosynthĂšse oxygĂ©nique. Des microbes marins avaient dĂ©jĂ  recours Ă  ce processus il y a au moins 2,87 milliards d’annĂ©es, soit bien avant "La Grande Oxydation".

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Sous l'ocĂ©an 4/4 : Michel L'Hour : une plongĂ©e dans le passĂ©

durĂ©e : 00:59:49 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - PrĂšs de 3 millions d’épaves reposent au fond des ocĂ©ans et peu de moyens pour les Ă©tudier. Un dĂ©fi d’une vie de Michel L’Hour, archĂ©ologue sous-marin, qui a rĂ©volutionnĂ© la discipline en y intĂ©grant robotique et coopĂ©ration internationale. Comment dĂ©chiffrer et prĂ©server notre mĂ©moire immergĂ©e ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Michel L'Hour ArchĂ©ologue sous-marin, directeur de la DRASSM

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Comment conserver les nodules polymétalliques, joyaux des fonds marins.

durée : 00:07:36 - La Science au labo - par : Céline Loozen - Au Muséum National d'Histoire Naturelle de Paris, une collection de sédiments et roches océaniques composent un véritable trésor d'archives océaniques collectées depuis plus de 50 ans notamment dans l'Océan Indien par le navire Marion Dufresne. - réalisation : Olivier Bétard

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L'origine de la bipédie humaine à travers la démarche des babouins

durĂ©e : 00:05:28 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - Une nouvelle Ă©tude rĂ©vĂšle que la bipĂ©die occasionnelle des babouins prĂ©sente des ressemblances avec la nĂŽtre. Avec de lĂ©gĂšres modifications du bassin, leur locomotion pourrait ĂȘtre aussi Ă©nergĂ©tiquement efficace que celle des humains. Un rĂ©sultat qui Ă©claire l'origine de la bipĂ©die humaine.

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Éthique de la recherche mĂ©dicale : la dĂ©claration d'Helsinki rĂ©visĂ©e

La dĂ©claration d'Helsinki est un ensemble de principes Ă©thiques qui guident la recherche mĂ©dicale impliquant des ĂȘtres humains. La premiĂšre version a Ă©tĂ© adoptĂ©e en 1964 par l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale de l'Association mĂ©dicale mondiale (World Medical Association) qui s'est tenue Ă  Helsinki. Elle trouve son origine dans le code de Nuremberg issu du procĂšs des mĂ©decins nazis au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, qui avait dĂ©crit dix critĂšres d'« expĂ©riences mĂ©dicales inacceptables ». C'est (
) IntĂ©gritĂ© scientifique

Sous l'ocĂ©an 3/4 : Bioacoustique marine : le bruit des fonds

durĂ©e : 00:58:35 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - GĂ©ophonie, biophonie, le monde aquatique bruisse de sons naturels depuis toujours. Mais depuis peu, les chercheurs scrutent une autre voix sous-marine : celle de l’anthropophonie. Comment le vacarme humain redessine-t-il les paysages sonores immergĂ©s ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Olivier Adam SpĂ©cialiste en bioacoustique, professeur des UniversitĂ©s, Ă©quipe « Communications acoustiques » du Centre de Neurosciences Paris Sud (CNPS-CNRS) Ă  l’UniversitĂ© Paris Sud - Orsay.; FrĂ©dĂ©ric Olivier Ecologue marin, Professeur au MusĂ©um national d'histoire naturelle (MNHN), affiliĂ© Ă  l’unitĂ© mixte de recherche BOREA (Biologie des Organismes et ÉcosystĂšmes Aquatiques)

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Des algorithmes au service de l'étude des paysages sonores sous-marins

durĂ©e : 00:07:46 - La Science au labo - par : CĂ©line Loozen - Biophonie, gĂ©ophonie et anthropophonie : les milieux sous-marins sont sonores. DĂ©crypter ces signaux des profondeurs est nĂ©cessaire pour amĂ©liorer la comprĂ©hension des comportements et des interactions entre spĂ©cimens, ainsi que leurs perturbations. Mais comment parvenir Ă  les capter dans la durĂ©e ? - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard

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Sur Pluton, la brume fait chuter le thermomĂštre

durée : 00:04:36 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - La brume de Pluton a été découverte lors du survol de la sonde New Horizons mais son rÎle sur le climat de la planÚte naine n'était pas élucidé. Grùce à la résolution du télescope James Webb dans l'infrarouge, une nouvelle étude révÚle que cette brume refroidit la haute atmosphÚre de Pluton.

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Sous l'ocĂ©an 2/4 : Faune des abysses : rendez-vous en mer inconnue

durĂ©e : 00:58:37 - La Science, CQFD - par : Natacha Triou, Antoine Beauchamp - Depuis des dĂ©cennies les scientifiques s’acharnent Ă  explorer les profondeurs insondables des grands fonds marins. La faune qu’ils y ont dĂ©couverte est d’une Ă©tonnante variĂ©tĂ© malgrĂ© les fortes contraintes qui rĂšgnent dans ces milieux. Aujourd’hui nous plongeons en quĂȘte des animaux des abysses. - rĂ©alisation : Olivier BĂ©tard - invitĂ©s : Marie-Anne Cambon Microbiologiste Ă  l'Ifremer, cheffe de la mission Bicose en 2014; Sarah Samadi Professeure au MusĂ©um national d'histoire naturelle

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Comment les espÚces benthiques évoluent au fond des mers.

durée : 00:07:27 - La Science au labo - par : Céline Loozen - Le benthos représente l'ensemble des organismes peuplant les fonds marins, des abysses aux zones cÎtiÚres, mais reste pourtant méconnu. L'Aquarium de Paris oeuvre à revaloriser cette biodiversité en l'étudiant dans ses bassins pour sensibiliser le grand public. - réalisation : Olivier Bétard

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L'océan s'assombrit

durĂ©e : 00:04:41 - Avec sciences - par : Alexandra Delbot - La zone photique, oĂč la lumiĂšre pĂ©nĂštre dans l’ocĂ©an et permet la photosynthĂšse, s’est rĂ©duite dans les 20 derniĂšres annĂ©es selon des donnĂ©es satellitaires. L’ocĂ©an s’assombrit et cette perte de luminositĂ© marine pourrait bouleverser la chaĂźne alimentaire.

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