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La lutte contre Campylobacter commence bien dès l’élevage

Un travail d’expertise européen dirigé par une scientifique de l’Anses a réévalué l’efficacité du contrôle de la bactérie Campylobacter dans les élevages de poulets pour empêcher la transmission de la bactérie à l’être humain. Ces résultats viennent d’être publiés dans une revue scientifique.

8 questions sur l'alimentation d'aujourd'hui

Mangeons nous trop et mal ? Les compléments alimentaires sont-ils utiles pour notre santé ? Acheter en vrac en toute sécurité, est-ce possible ? L'eau que nous buvons contient-elle des microplastiques ? ... A travers nos vidéos et articles, découvrez comment nos scientifiques agissent au quotidien pour répondre aux inquiétudes posées par l’alimentation d’aujourd’hui. 

 

Manque d’activité physique et excès de sédentarité : une priorité de santé publique

95% de la population française adulte est exposée à un risque de détérioration de la santé par manque d’activité physique ou un temps trop long passé assis. Ces risques sont majorés lorsque le manque d’activité physique et l’excès de sédentarité sont cumulés. Certaines populations sont plus exposées. Promouvoir des modes de vie favorables à la pratique d’activités physiques et à la lutte contre la sédentarité doit constituer une priorité des pouvoirs publics selon l’Anses.

Les biotechnologies

Avec l’essor du génie génétique, les biotechnologies permettent d’intervenir directement sur les gènes des organismes vivants pour en modifier les propriétés. Ces technologies sont utilisées dans de nombreux secteurs, de la recherche à l’industrie, notamment dans les domaines de l’agriculture et de la santé. Depuis sa création, l’Anses remplit plusieurs missions en rapport avec l’utilisation de plantes génétiquement modifiées dans l’alimentation humaine ou animale, désignées sous le nom d’OGM. Le 1er janvier 2022, ses missions ont été élargies suite à la dissolution du Haut conseil des biotechnologies. 

Un partenariat pour mieux lutter contre les bactéries dans les ateliers de transformation des aliments

La présence des bactéries Listeria et Salmonella dans les ateliers de transformation des aliments pose plusieurs problèmes : ces bactéries pathogènes pour l’être humain sont capables de persister longtemps dans l’environnement et de résister aux traitements par des produits biocides. L’Unité mixte technologique (UMT) Actia Fastypers vient d’être créée par le ministère de l’Agriculture pour cinq ans, afin de travailler sur ces problématiques.

Vente en vrac : recommandations et produits à exclure

Comment les distributeurs peuvent-ils garantir aux consommateurs la sécurité sanitaire des produits vendus en vrac ? Tous les produits peuvent-ils être vendus en vrac ? A l’heure où la vente en vrac prend de l’ampleur, encouragée par la demande sociétale et par le législateur dans le cadre de la loi AGEC, l’Anses a été saisie par la DGCCRF sur les produits ne pouvant relever de cette pratique pour des raisons de santé publique.

L’Anses et l’Istituto Superiore di Sanità signent un partenariat scientifique

L’Anses et l’ISS - Istituto Superiore di Sanità (Institut national italien de la santé) principal organisme de recherche en santé publique d’Italie, ont signé un protocole d’accord jeudi 18 novembre 2021. Il vise à renforcer une collaboration scientifique de longue date entre les deux organismes dans les domaines de la santé publique vétérinaire, la sécurité sanitaire des aliments, la nutrition et la santé environnementale.  

Projet Marco : six années de recherches sur la mer en Côte d’Opale

Après six années, le projet Marco (Recherches marines et littorales en Côte d’Opale : des milieux, aux ressources, aux usages et à la qualité des produits aquatiques) arrive à sa fin. À cette occasion, un colloque est organisé du 13 au 15 octobre à Boulogne-sur-Mer par les cinq établissements partenaires. Tour d’horizon des apports de ce projet, auquel l’Anses a contribué sur la qualité des produits de la mer, dont l’étude des microplastiques et de leur impact sur ces produits.

Un guide spécifique pour évaluer les risques sanitaires des nanomatériaux dans l’alimentation

Les nanomatériaux sont de plus en plus utilisés dans notre alimentation, notamment pour améliorer l’aspect d’un produit alimentaire, son conditionnement ou sa teneur nutritive. Toutefois, leurs impacts potentiels sur la santé soulèvent de nombreuses questions. C’est notamment le cas du dioxyde de titane utilisé comme additif alimentaire (E171), dont la sécurité d’emploi a été questionnée par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) et qui est en voie d’être interdit dans l’Union européenne à compter de 2022.

Vitamine D : privilégier les médicaments pour éviter le surdosage chez les nourrissons

Trois cas de surdosage à la vitamine D ont récemment été rapportés chez des nourrissons, suite à la prise de compléments alimentaires. Un excès en vitamine D peut avoir de graves conséquences sur leur santé et menacer le pronostic vital des tout-petits. Pour limiter les risques, nous rappelons nos recommandations pour la supplémentation des nourrissons en vitamine D. 

La saison des champignons en avance cette année : soyez vigilant face aux risques d’intoxications

Les conditions météorologiques des mois de juillet et d’août favorisent cette année les cueillettes précoces de champignons. De nombreuses intoxications liées à leur consommation sont déjà observées. Celles-ci peuvent être graves - troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe - voire mortelles. Que vous soyez connaisseur ou cueilleur occasionnel, restez vigilant et respectez les bonnes pratiques pour une consommation en toute sécurité.

Billes d’eau : à tenir hors de portée des enfants

L’ingestion de billes ou perles d’eau par de jeunes enfants peut provoquer des accidents graves, parfois mortels. Les cas d’ingestion étant en nette augmentation, nous alertons les parents et les personnes ayant la garde d’enfants et leur rappelons l’importance de tenir ces objets hors de leur portée.

Nanomatériaux : pour une définition européenne plus protectrice

Dans l’Union européenne, la définition des nanomatériaux varie en fonction des secteurs d’activité. La Commission européenne a lancé une consultation publique pour réviser la définition des nanomatériaux en vue d’une éventuelle harmonisation. Dans sa réponse, l’Anses appelle à ne pas exclure de cette définition certains nanomatériaux qui pourraient pourtant être problématiques pour la santé humaine et l’environnement.

Les plantes toxiques vendues dans le commerce

Certaines plantes d’ornement vendues dans le commerce ou sur internet peuvent présenter un risque en cas d’ingestion ou de contact cutané par exemple. Retrouvez dans cet article la liste des plantes toxiques pour les Hommes comme pour les animaux.

Un été sans souci

Depuis plusieurs années, l’Anses est partenaire de l’opération « Un été sans souci » pilotée par la Direction générale de la Santé. Cette année, l'Agence vous propose une sélection de recommandations pour prévenir les risques propres à la période estivale : non-respect de la chaîne du froid, piqûres de moustiques, protection des animaux en cas de fortes chaleurs, etc.

Chlordécone et alimentation : mieux caractériser l’exposition des Antillais

L’Anses lance l’étude ChlorExpo en Guadeloupe et en Martinique. Le but est d’obtenir une photographie plus précise du niveau d’exposition alimentaire de la population au chlordécone, en lien avec les dernières connaissances sur les risques d’exposition à ce contaminant chimique. Pour mieux prendre en compte les habitudes locales d’approvisionnement, de préparation et de cuisson des aliments, l'agence réalise cet été une enquête scientifique auprès des habitants.

Tout savoir sur la sécurité sanitaire des aliments

Quelles sont les sources potentielles de contamination des aliments ? Qu’est-ce qu’une toxi-infection alimentaire ? Comment éviter les intoxications alimentaires ? Qu’est-ce que la Salmonellose et que provoque-t-elle ? Que fait l’Agence pour garantir la sécurité sanitaire d’un aliment ?

A l’occasion la journée mondiale de la Sécurité sanitaire des aliments, nous vous proposons un dossier dédié pour mieux comprendre les enjeux de la sécurité sanitaire des aliments et découvrir nos actions pour rendre les aliments plus sûrs pour les consommateurs.

Les facteurs de risque de onze maladies d’origine alimentaire passés en revue

Un numéro spécial de la revue Microbial Risk Analysis sur les facteurs de risque des principales maladies infectieuses d’origines alimentaires vient de paraître. Basé sur les travaux de scientifiques et d’experts de l’Anses, il fait la synthèse des connaissances épidémiologiques et fournit des informations pour orienter les actions préventives et la surveillance de ces maladies, ainsi que les futures recherches.

Compléments alimentaires à base de plantes contenant de la coumarine : attention à la surconsommation

L’Anses a évalué le risque lié à la teneur en coumarine de certaines plantes pouvant être consommées en particulier dans les compléments alimentaires. Composé naturel odorant présent dans certaines plantes comme la cannelle, la coumarine est utilisée dans l’alimentation comme épice ou ingrédient aromatisant naturel. Consommée à de fortes doses, la coumarine peut provoquer des atteintes hépatiques.

Dioxyde de titane : point sur l’actualisation de l’évaluation de l’EFSA pour l’additif alimentaire E171

L’Anses prend note des conclusions de la réévaluation par l’EFSA du dioxyde de titane utilisé comme additif alimentaire (E171), qui confirment des préoccupations sanitaires soulevées par l’Agence dans ses expertises de 2017 et 2019. Elle prendra en compte les données de cette nouvelle évaluation dans ses travaux en cours sur l’évaluation des risques liées aux additifs et ingrédients alimentaires de taille nanométrique.

Les références nutritionnelles en vitamines et minéraux

Le terme général « référence nutritionnelle » regroupe un ensemble de valeurs d’apports alimentaires en nutriments qui varient en fonction de l'âge et du sexe mais aussi en fonction du niveau d'activité physique, de l'état physiologique (comme la grossesse par exemple) ou encore des habitudes alimentaires. Ces références nutritionnelles sont utiles aux professionnels de santé et notamment aux spécialistes de la nutrition et de la diététique pour élaborer un régime alimentaire varié et équilibré couvrant les besoins de différents groupes de population : nourrissons, enfants, adolescents, adultes, femmes enceintes et allaitantes, personnes âgées) en bonne santé, sans conduire à des excès d’apports. Dans cet article, vous trouverez une description synthétique des fonctions, des sources alimentaires et des références nutritionnelles disponibles pour l’ensemble des vitamines et minéraux.

Publication des nouvelles références nutritionnelles en vitamines et minéraux pour la population française

Apportés essentiellement par notre alimentation, les vitamines et minéraux sont nécessaires à la croissance, au bon fonctionnement de notre organisme et au maintien en bonne santé. L’Anses actualise aujourd’hui les références nutritionnelles en vitamines et minéraux qui définissent les quantités permettant de couvrir le besoin en nutriments des populations, sans conduire à des excès. Ces valeurs ont vocation à devenir les références pour tous les professionnels du secteur de la nutrition et de la santé.

Zootopique, le podcast d’anticipation de l’Anses

Une Covid-31 est-elle possible ? Que vont devenir nos cohabitations tumultueuses avec les moustiques… ou les abeilles ? Quelle viande mangerons-nous demain ? L’Anses lance « Zootopique », sa première série de podcasts, et propose aux auditeurs un voyage dans le futur pour interroger les liens entre santé humaine et santé animale. Un an après le début de la pandémie Covid-19, l’Agence, en collaboration avec le média The Conversation, fait entendre la voix de chercheuses et de chercheurs pour comprendre comment la science d’aujourd’hui anticipe les risques de demain. 

Brévétoxines dans les coquillages : proposition d’une valeur guide pour la protection des consommateurs

Pour la première fois en 2018, des brévétoxines, une famille de biotoxines marines, ont été détectées dans des moules en Corse. En cas d’ingestion, ces toxines peuvent provoquer chez l’Homme des symptômes neurologiques, gastro-intestinaux et/ou cardiovasculaires. A partir des cas d’intoxication alimentaire survenus dans d’autres pays, l’Anses a proposé une valeur guide pour assurer la protection des consommateurs de coquillages tels que les huîtres et les moules. Ces travaux constituent une avancée scientifique importante dans le domaine des toxines émergentes.

Intoxication par champignons shiitake : l’Anses et la DGCCRF rappellent l’importance de bien les cuire avant de les consommer

Originaire d’Asie, le champignon shiitake est le champignon le plus consommé au monde après le champignon de Paris. Arrivé sur le marché européen depuis plusieurs années, il est désormais cultivé et produit en France. Lorsqu’il est consommé cru ou insuffisamment cuit, le shiitake peut entraîner une dermatite toxique « en flagelle » sur tout le corps, provoquant de fortes démangeaisons.

Hommes et animaux : une seule santé

La pandémie de la COVID-19 a mis en lumière les liens étroits entre la santé des animaux et celle de l'Homme.

À l’occasion de la journée mondiale de la santé, nous vous proposons un décryptage scientifique et un éclairage de nos actions pour mieux comprendre ces interactions au regard du concept One health, une seule santé pour les animaux, l'Homme et l'environnement.

Les interactions entre la santé animale et la santé humaine en 10 points clés

La santé des animaux et celle de l’Homme sont étroitement liées. Chaque année, trois à cinq nouvelles maladies humaines trouvent leur source dans le monde animal. Mieux connaître les pathogènes qui circulent chez les animaux permet d’anticiper les épidémies qui pourraient survenir chez l’Homme dans le futur. Résumé en quelques notions clés pour mieux comprendre la problématique.

La sécurité sanitaire des aliments, de la fourche à la fourchette

Le lait, la viande, les légumes…tous les aliments que nous consommons peuvent être source de contamination. A travers la transmission de bactéries, de parasites, de virus d’origine animale ou végétale ou de contaminants chimiques, notre alimentation est susceptible de provoquer des maladies ou intoxications chez l’Homme. La sécurité sanitaire des aliments se situe dans une approche globale « une seule santé », à l’interface de la santé des animaux, des végétaux et de l’Homme. Pour protéger le consommateur des risques liés à la contamination des aliments et prévenir les épidémies potentielles, il est essentiel d’intervenir sur toutes les étapes de la chaîne alimentaire, « de la fourche à la fourchette ». C’est le rôle de l’Anses.

Gare aux confusions entre colchique et ail des ours

Lors de cueillette, les plantes sauvages toxiques sont parfois confondues avec des plantes comestibles. La confusion entre l’ail des ours et le colchique peut entraîner des intoxications graves voire mortelle. Retrouvez tous nos conseils pour des cueillettes en toute sécurité.

Le règlement européen sur la transparence : un nouveau cadre pour l’évaluation des risques et la sécurité sanitaire des aliments

En vigueur depuis le 27 mars 2021, le RÈGLEMENT (UE) 2019/1381 du Parlement européen et du Conseil du 20 juin 2019, dit « Règlement Transparence », vise à renforcer la transparence et la pérennité́ de l'évaluation des risques dans la chaîne alimentaire, à l’échelle de l’Union européenne. Panorama des principales évolutions apportées par cette réglementation et ses implications pour les industriels, les représentants de la société civile, et pour les agences sanitaires nationales comme l’Anses.

Les lipides

Graisses, gras, lipides, acides gras, triglycérides, cholestérol, difficile de s'y retrouver parmi tous ces termes …. Découvrez à quoi correspondent ces termes, le rôle joué par les lipides dans l’organisme, les aliments sources de lipides ainsi que les recommandations de l’Anses.

L’Anses et l’ANSM lancent un projet de rapprochement à Lyon : le futur bâtiment commun se dessine

L’Anses et l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) ont décidé de rapprocher certaines de leurs activités scientifiques et de les regrouper dans un nouveau bâtiment. Le projet du cabinet Pargade Architectes a été sélectionné pour la construction de ce bâtiment. Entièrement dédié à l’approche « One health – une seule santé », il alliera plateformes technologiques de pointe et laboratoires de haute sécurité biologique en santé humaine, animale et végétale.

Pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine : quelle contribution de l’Anses pour protéger la santé des consommateurs ?

En diffusant dans notre environnement, les pesticides peuvent se transformer en une ou plusieurs autres molécules appelées "métabolites". Les substances actives de pesticides ainsi que leurs métabolites sont ainsi susceptibles de contaminer les ressources en eau et de se retrouver dans les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH). L’Anses vient en appui aux autorités dans la gestion des dépassements des limites réglementaires fixées, afin de garantir la santé du consommateur. Elle a également conçu une méthode pour identifier, parmi les métabolites de pesticides, ceux qui devront faire l’objet d’une attention prioritaire au regard des enjeux sanitaires associés à la consommation de l’eau.

Un projet pour comprendre et modéliser la transmission du virus SARS-CoV-2 dans les ateliers de transformation de la viande

Des cas groupés de Covid-19 ont été identifiés chez les personnes travaillant au sein des ateliers de transformation des aliments, en France et dans le monde. Un projet coordonné par l’Anses et financé par l’Agence nationale de la recherche vient de débuter pour mieux comprendre comment le virus circule dans les ateliers de préparation de la viande et proposer des mesures de prévention adaptées.

Un nouveau site de déclaration en ligne pour la Nutrivigilance

Le dispositif de Nutrivigilance collecte les signalements d’effets indésirables liés à la consommation de certains produits alimentaires, dont les compléments alimentaires. Les professionnels de santé, les fabricants ou distributeurs et les particuliers peuvent désormais déclarer ces effets indésirables sur un nouveau site plus facile et rapide à utiliser. En déclarant sur le site, ils contribuent ainsi à améliorer la connaissance des produits et la sécurité des consommateurs.

Tout savoir sur le dispositif de nutrivigilance

Compléments alimentaires, nouveaux aliments, aliments enrichis ou boissons dites énergisantes : la consommation de ces produits peut provoquer des effets indésirables. Pour les identifier rapidement et protéger au mieux la santé des consommateurs, l’Anses a mis en place un dispositif de vigilance alimentaire : la nutrivigilance.

Vitamine D chez l’enfant : recourir aux médicaments et non aux compléments alimentaires pour prévenir le risque de surdosage

Des cas de surdosage à la vitamine D ont récemment été rapportés chez des jeunes enfants suite à la prise de compléments alimentaires enrichis en vitamine D. Ces cas se manifestent par une hypercalcémie (taux excessif de calcium dans le sang) qui peut avoir des conséquences graves, telles qu’une atteinte rénale à type de lithiase / néphrocalcinose (dépôt de calcium dans le rein).

Date limite de consommation (DLC) et date de durabilité minimale (DDM)

« A consommer avant le », « à consommer jusqu’au », « à consommer de préférence avant le » … ces mentions figurent sur les emballages des produits alimentaires. Mais quelle est la différence ? Que signifient les dates DLC et DDM ? Quels produits sont concernés ? Certaines dates limites peuvent-elles être dépassées sans présenter de risque pour notre santé ? Quels sont les aliments et boissons impérissables ? L’Anses répond aux questions les plus fréquentes et vous livre ses recommandations pour éviter les erreurs.

L’Anses et Sciensano poursuivent leurs collaborations

L’Anses et son homologue belge Sciensano ont renouvelé les conventions qui les lient depuis 2009. Les deux organismes poursuivront leurs collaborations, notamment dans les domaines du diagnostic et des activités de recherche et de référence relatives aux agents pathogènes responsables d’épizooties et de zoonoses et aux agents chimiques susceptibles de contaminer la chaîne alimentaire.

Compléments alimentaires contenant des huiles essentielles d’arbre à thé, de niaouli et de cajeput : leur consommation sans précaution peut présenter des risques

S’il n’existe pas, en France, d’usage alimentaire traditionnel des feuilles de Melaleuca, des huiles essentielles présentes dans de nombreux compléments alimentaires en sont issues : arbre à thé (ou tea tree), niaouli et cajeput. Des consommateurs en détournent l’usage pour en faire des traitements d’appoint en vue de soigner certaines infections. Or, ces huiles essentielles sont déconseillées voire interdites dans certains pays européens en raison de leurs potentiels effets neurotoxiques.

Plantes décoratives - leur ingestion peut être toxique pour les Hommes comme pour les animaux

Pendant les fêtes de fin d’année, le houx, le gui ou encore le poinsettia sont utilisées pour décorer les gâteaux, l’intérieur de sa maison ou son jardin. L’ingestion de baies ou de feuilles par les enfants ou les animaux peut s’avérer toxique et provoquer des symptômes plus ou moins graves en fonction des quantités consommées. En cas d’ingestion, l’Anses vous recommande d’appeler au plus vite un Centre antipoison.

Singapour et la France signent un protocole d’accord pour renforcer leur coopération concernant la sécurité sanitaire des aliments

© Christophe Cordevant

Le 14 décembre 2020, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et la Singapore Food Agency (SFA) ont signé un protocole d’accord (Memorandum of Understanding) pour soutenir le développement de la collaboration scientifique et technique entre les deux agences dans le domaine de la sécurité sanitaire des aliments.

COVID-19 : les recommandations et travaux de l'Anses

Depuis le début de la pandémie Covid-19, l’Anses mobilise son expertise dans ses champs de compétences - santé animale, alimentation et nutrition, santé au travail, etc. - pour donner au public des repères utiles à l’organisation de la vie quotidienne et à la protection de sa santé dans cette période exceptionnelle. A l’interface de la santé humaine et animale, dans l’esprit “d’une seule santé”, l’Agence contribue à apporter une réponse aux questions soulevées par cette crise, que ce soit en termes de recherche ou d’appui à la gestion.  Elle mobilise en particulier son expertise en matière de zoonoses et de coronavirus animaux pour améliorer les connaissances relatives au SARS-Cov-2. Découvrez l’ensemble des actions menées depuis mars 2020 et les derniers travaux de l’Agence.

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