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Pourquoi le cerveau féminin est plus vulnérable face à la maladie d’Alzheimer ?

durée : 00:06:37 - La chronique santé de Thierry Lhermitte - À l’approche de la Journée mondiale Alzheimer, le 21 septembre prochain, Thierry a rencontré Chantal Mathis, qui dirige l’équipe ENGRAM dans le Laboratoire de Neurosciences Cognitives et Adaptatives, spécialisée dans l’étude des circuits de l’apprentissage et de la mémoire.

Ripley dans la saga "Alien" : une héroïne tendance même dans l'espace

durée : 00:04:57 - L'ami.e du vendredi - En matière de mode au cinéma, Guillemette a immédiatement pensé à celle qui ne craint pas les basiques car un rien ne l'habille. Ripley, la survivante de la saga "Alien" est selon elle la première bombe de science-fiction au cinéma. D'ailleurs côté textile, Ripley, elle ne fait pas de chichis !

Mae West la sulfureuse, cette icône hollywoodienne des années 1930

durée : 00:05:26 - L'ami.e du vendredi - Coup de projecteur sur l'une des stars les plus sulfureuses des années 1930, figure de l'émancipation féminine, elle a bouleversé les codes traditionnels d'Hollywood. La vedette représentait un vrai modèle de liberté au cinéma, dont le style a occasionné bien des scandales à l'époque.

En finir avec l'obsession de la pénétration et les pulsions pleines de stéréotypes

durée : 00:05:06 - La chronique de Christophe André - Christophe André a feuilleté un livre qui rappelle avec bon sens que le plaisir passe aussi par d’autres voies que la pénétration, assez nombreuses et gratifiantes. Et qu’il faut apprendre à explorer d'autres cultures sexuelles qui s'affranchissent du seul canon de la pénétration.

Sam Gamegie dans "Le Seigneur des anneaux" : un hobbit qui redonne foi en l'humanité

durée : 00:04:10 - L'ami.e du vendredi - Un ami issu d'une destination très lointaine, un monde qui réunit la folie de l'imagination, que ce soit dans l'espace ou dans le temps... Voici celui qui, en littérature, est un des plus beaux exemples de l'amitié, le type fidèle, solide, qui vous porte sur le dos s'il le faut !

Pourquoi on pleure à chaque fois qu'on regarde "Sur la route de Madison" de Clint Eastwood ?

durée : 00:04:03 - La chronique de Christophe André - Eric Libiot aussi espère à chaque fois que Francesca ouvre sa portière. Mais elle ne l'ouvre jamais. Il n'est pas le seul à prier à chaque fois pour qu'elle l'ouvre. Il explique pourquoi à chaque fois, on pleure et pourquoi cela fait du bien de pleurer devant ce magnifique film.

Alexandra Owens de "Flashdance" d’Adrian Lyne : What a feeling !

durée : 00:03:58 - L'ami.e du vendredi - Guillemette nous présente une grande amie de son adolescence. Qui ne se rappelle pas de cette scène d'audition que passait Alexandra Owens, formidablement bien interprétée en 1983 par l'actrice Jennifer Beals dans le célèbre film "Flashdance" sous les airs de "What a feeling" ou encore de "Maniac" !

Le détective Philip Marlowe, héros des polars de Raymond Chandler

durée : 00:04:33 - L'ami.e du vendredi - Une personne admirable que ce soit dans la Californie des années 1940 ou la France de 2023. Un type qui a conscience que ce n’est pas simple d’être quelqu’un de bien mais qui y parvient en dépit de son regard insolent sur le monde qui l’entoure, et qui cache un grand sentimental.

Le génie d'Alexandre Astier : ce druide des idées comiques ou l'art de l'humour en commun

durée : 00:05:03 - L'ami.e du vendredi - C'est un roi, c'est le roi Arthur. Son premier prénom, c'est Alexandre Astier, le cerveau de "Kaamelott", cette série incroyable qui, de 2005 à 2009, a remis au goût du jour les Chevaliers de la Table ronde avec un humour digne d'un mélange de Michel Audiard et des Monty Python.

Pourquoi j'adore l'inspectrice Lilly Rush dans la série TV "Cold Case"

durée : 00:04:35 - L'ami.e du vendredi - Dans la fiction, j’ai énormément d’amies enquêtrices. Chez les Françaises, je rêverais de boire une bière avec Marleau, la capitaine de gendarmerie qui se régale à imiter l’inspecteur Columbo. Mais chez les Américaines, toutes mes policières préférées sont blondes comme le blé.

Syndrome de la Schtroumpfette : la surreprésentation des hommes dans la fiction

durée : 00:04:55 - L'ami.e du vendredi - Dès qu’on parle BD, cet univers où les filles ont dû sacrément se faire leur place, je pense à ma copine, la pauvre Schtroumpfette. Elle est à l’origine d’un syndrome qui porte son nom : la surreprésentation, volontaire ou inconsciente des protagonistes masculins dans les œuvres de fiction

Castella (Jean-Pierre Bacri) dans "Le Goût des autres" ou l'art de ne pas faire semblant

durée : 00:03:49 - L'ami.e du vendredi - Mon ami est chef d’entreprise, pas vraiment cultivé, il a une moustache peu seyante. À cause de son épouse qui, elle, a vraiment des goûts très particuliers, il vit dans une véritable bonbonnière. Ce qui ne l’empêche pas de lancer des réflexions masculines lourdingues sans réfléchir.
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