Comprendre et réviser les arbres généalogiques du cours de génétique humaine en SVT / biologie, grâce à ces exercices interactifs. Profitez-en, c'est libre !
— Permalien
Des biologistes ont découvert que la myéline est, dans le cerveau, régulée par un rétrotransposon. Cela suggère une origine virale de cette membrane qui a joué un rôle crucial dans le développement de nos capacités cognitives et motrices.
En analysant de l’ADN extrait d’ossements anciens de milliers d’individus, des chercheurs ont révélé comment les gènes qui augmentent le risque de développer la sclérose en plaques se sont diffusés en Europe il y a près de 5 000 ans.
L’analyse génétique d’une espèce de rongeur montre que les mammifères pourraient survivre à la disparition de leur chromosome Y, responsable de la différenciation sexuelle en mâle.
Un essai clinique vient de montrer qu’il est possible d’atteindre des tumeurs solides avec des cellules immunitaires génétiquement sur mesure. Une première qui ouvre la voie au développement d’immunothérapies cellulaires personnalisées en oncologie.
En exerçant sur l’espèce humaine une très forte pression de sélection, la peste noire a permis la sélection d’un gène protecteur contre cette maladie mortelle. Ce même gène, aujourd’hui, exacerbe notre sensibilité aux maladies auto-immunes.
La maladie de Huntington se manifeste par des anomalies dans les neurones très tôt durant le développement. Un traitement précoce de ces altérations pourrait empêcher l’apparition de la maladie à l’âge adulte.
Le paléogénéticien suédois Svante Pääbo a reçu le prix Nobel de médecine et de physiologie 2022 pour ses découvertes sur l’évolution génétique humaine.
Près de 40 % des hommes de plus de 70 ans sont touchés par une anomalie génétique problématique. Certaines cellules, notamment immunitaires, perdent leur chromosome Y. Cela conduit dans certains cas à une insuffisance cardiaque et augmente le risque de décès prématuré.