En diminuant la quantité d’énergie solaire atteignant la surface terrestre, des impacts de météorites pourraient avoir déclenché les périodes où la Terre était presque entièrement recouverte de glace.
En analysant des briques en terre cuite fabriquées en Mésopotamie entre le IIIe et le Ie millénaire avant notre ère, des chercheurs ont retracé avec précision l’évolution du champ magnétique terrestre local durant cette période.
La durée du jour s’est progressivement allongée au cours de l’histoire de la Terre. Mais il y a entre deux et un milliard d’années, elle aurait stagné autour de dix-neuf heures. Pourquoi ?
Des simulations montrent que l’apport d’eau douce dans l’océan Austral causé par la fonte de la glace antarctique va modifier la circulation des grands courants océaniques profonds, acteurs majeurs du climat de la planète.
Depuis l’interdiction des CFC, le trou dans la couche d’ozone se résorbe doucement. Mais la fumée des feux de forêt favoriserait la production de molécules destructrices d’ozone en atteignant la stratosphère.
En analysant des cristaux vieux de presque 4 milliards d’années, des chercheurs ont déterminé les propriétés des fluides qui alimentaient les sources hydrothermales où les premières réactions prébiotiques se seraient développées.
Quand il est associé à certains métaux ou à des échantillons de météorites, le dihydrogène amorce certaines réactions chimiques du cycle de Krebs inverse, un réseau métabolique qui serait à la base de l’émergence de la vie sur Terre.
Alors qu’on croyait qu’elle dépendait principalement de l’atmosphère, la concentration en dioxygène dans l’océan serait déterminée par la circulation océanique profonde, elle-même liée à la position des continents et donc à la tectonique des plaques.
Il y a 56 millions d’années, la Terre a connu un réchauffement climatique rapide et intense. Selon un nouveau scénario, il aurait été provoqué par une déchirure continentale dans l’hémisphère Nord. L’intense activité volcanique associée aurait libéré de grandes quantités de dioxyde de carbone dans l’atmosphère et les océans.