Aux hautes latitudes, s’adapter a toujours été une nécessité pour les populations autochtones. Mais le changement climatique pousse de plus en plus souvent leurs capacités à l’extrême.
La position sociale des femmes, quand elle est défavorable, a-t-elle une influence négative sur leur santé ? Oui, suggère une étude pionnière auprès d’un groupe ethnique organisé selon différentes normes de genre.
L’analyse des gènes de onze individus passés par la grotte de Chagyrskaya, en Sibérie, suggère une fois de plus que les Néandertaliens vivaient au sein de communautés très consanguines d’au plus une trentaine de personnes.
Une méthode inspirée de la phylogénétique livre des arbres de parentés entre motifs mythologiques apparus dans de nombreuses régions du monde. La reconstitution du cheminement des mythes où figurent des chiens, pour certains survenus dès le Paléolithique supérieur, recoupe les conclusions des généticiens sur la domestication du loup. Elle révèle aussi la force et l’ancienneté des liens entre l’humanité et son plus vieux compagnon.
Au cours du Ier millénaire avant notre ère, les Bantous ont déployé avec un grand succès un mode de vie original dans la forêt tropicale humide africaine. Au cours du millénaire suivant, ils ont connu une crise démographique, dont ils se sont libérés en se reposant sur les premiers habitants de la forêt : les Pygmées.
Au cours du Ier millénaire avant notre ère, les Bantous ont déployé avec un grand succès un mode de vie original dans la forêt tropicale humide africaine. Au cours du millénaire suivant, ils ont connu une crise démographique, dont ils se sont libérés en se reposant sur les premiers habitants de la forêt : les Pygmées.
Quatre anthropologues ont analysé des centaines de squelettes et découvert que, contrairement à une idée répandue, le Néolithique fut une période marquée par la violence, et notamment par des conflits guerriers.