Le séquençage du génome de cet animal a non seulement résolu une énigme ancienne sur la diversification des premiers vertébrés, mais aussi mis au jour les circonstances qui ont favorisé le succès évolutif de ceux à mâchoires.
Les premiers organismes comportant plusieurs cellules dotées d’un noyau sont apparus bien plus tôt qu’on ne le pensait. Il s’agissait très probablement d’algues vertes.
Avec un réchauffement de 1,5 °C de la planète, la calotte polaire antarctique va-t-elle disparaître ? La réponse vient de l’étude génomique d’une pieuvre.
Les humains ont une paire de chromosomes de moins que les grands singes : deux chromosomes ont fusionnés en un seul au cours de l’évolution de la lignée humaine. On commence à comprendre comment, quand et où.
Si l’impact de l’astéroïde de Chicxulub a provoqué l’éradication des grands dinosaures, il y a 66 millions d’années, il semble qu’ils étaient déjà en déclin depuis longtemps.
Qui eût cru que des molécules fossiles liées à la famille du cholestérol mettraient au jour des écosystèmes insoupçonnés vieux de 1,5 milliard d’années ?
Du haut de son millimètre, un animal fossilisé intriguait les paléontologues : bien que sans anus, il paraissait plus proche des vertébrés que des arthropodes. Erreur de casting ?
Nombre de méduses sont capables de revenir à un stade antérieur de leur cycle, le polype. Mais une seule sait le faire à l’âge adulte. Aurait-elle atteint l’immortalité ?
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