La haute mer, soit 60 % des océans, échappe à la souveraineté des États, ce qui complique la conservation de ce patrimoine commun et le partage des bénéfices tirés de son exploitation.
Réunis dans le collectif Scientist Rebellion, des spécialistes du climat et de la biodiversité, « terrifiés par ce qu’ils voient », appellent à une désobéissance civile non violente.
Nos sociétés vivent à l’heure des émissions de dioxyde de carbone, qu’elles souhaitent voir diminuer drastiquement. Mais les méthodes employées sont-elles les bonnes ?
Si les forêts tropicales constituent un atout géopolitique important, le pétrole reste la pièce maîtresse du « Sud global » et, au-delà, du « business as usual » !
Les politiques environnementales visent à la protection de l’environnement. Lapalissade… sauf si l’on tient compte des vents contraires auxquelles elles font face.
Les ultrariches sont de plus en plus riches et l’écart avec les plus pauvres se creuse. L’environnement est la première victime de ces inégalités toujours plus criantes.
Les discussions sur la réglementation des « nouveaux OGM » ont un air de déjà-vu : une vision néolibérale de la science au détriment de l’environnement.
« On marche sur la tête ! » ont crié en chœur opposants et partisans des normes environnementales lors de la crise agricole. Comment retrouver le bon sens ?