Une étude des stratégies d’adaptation des plantes dans les écosystèmes arides à travers le monde révèle que, contrairement à ce que l’on pourrait penser, leur diversité fonctionnelle est plus grande que dans les milieux tempérés. Ces milieux extrêmes sont-ils des réservoirs de solutions ou des espaces en sursis ?
Comment est-on passé d’une unique espèce sauvage à la foisonnante variété actuelle de choux ? Une nouvelle étude génomique éclaire ce processus de domestication, mais il reste des énigmes à élucider.
Ces éléments, de plus en plus utilisés par de nombreuses industries technologiques, commencent à être disséminés dans la nature. Or ils sont susceptibles d’être absorbés par les plantes et de perturber leur croissance.
Le champignon Colletotrichum orbiculare s’attaque aux cultures en dégradant la cellulose des plantes grâce à une enzyme dont certaines régions, désordonnées, étaient supposées inutiles. Or, c’est là que réside leur efficacité… et peut-être le moyen de les neutraliser.
La diversité des espèces d’arbres en forêt marque plus qu’on ne le croit les organismes du sol. Or, aussi petits soient-ils, ils peuvent grandement atténuer certains effets des sécheresses.
C’est une première : une résine époxy à base de dérivés de lignine, l’un des principaux constituants du bois, ouvre la voie à la fabrication de matériaux composites recyclables.
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