Une étude sur des souris modèles de la schizophrénie a montré que des nanocorps, des fragments synthétiques d’anticorps de lama, peuvent franchir la barrière hématoencéphalique et améliorer certains déficits cognitifs associés à la maladie. Une découverte qui ouvre une piste de traitement prometteuse.
Des nœuds de l’ADN, les G-quadruplexes, régulent l’expression des gènes mais peuvent aussi déstabiliser le génome. Une nouvelle étude révèle comment la formation et le désassemblage d’une « boucle G », impliquant un ARN, parviennent à démêler l’ADN.