Dans l’arctique, le crépuscule dure une grande partie de la journée, surtout en hiver. Les yeux des rennes se modifient alors structurellement afin de s’adapter à la pénombre.
Dans les océans, comment se reproduire lorsqu’on est immobile ? L’algue rouge gracilaire y parvient grâce à l’idotée, un petit crustacé qui transporte ses gamètes et assure sa fécondation.
Quand survient un événement surprenant, le cerveau libère une bouffée de noradrénaline, un neurotransmetteur qui module les capacités de planification.
On pensait que seuls les animaux dotés d’un système nerveux centralisé étaient capables d’apprendre de leur expérience passée. La cuboméduse des Caraïbes prouve le contraire.
Le travail d’équipe semble être un élément clé dans le maintien d’un groupe. Or ce comportement que l’on croyait propre à l’humain fait aussi partie du quotidien des babouins. De quoi remettre en question les origines de nos stratégies de coopération ?
Les anémones du genre Alvinactis sont parfaitement adaptées aux conditions extrêmes de leur habitat. Une analyse de leur génome livre aujourd’hui leur secret.
Les restes momifiés de souris et un spécimen vivant ont été découverts à plus de 6 200 mètres dans la cordillère des Andes. Comment se sont-elles adaptées à ce milieu extrême ?
On parle souvent des « bras » de ces animaux. Mais le terme n’est pas tout à fait exact. En cartographiant l’expression des gènes du développement dans différentes régions du corps d’étoiles de mer, des scientifiques ont révélé une structure surprenante.