Une étude révèle que, même dans les zones peu anthropisées, seules un tiers des espèces de plantes qui devraient s’y trouver sont présentes. Cette « biodiversité fantôme » met en lumière un impact d’une ampleur inattendue et à grande échelle des activités humaines.
Une des rares études menée en captivité montre qu’un des fongicides les plus utilisés en agriculture, le tébuconazole, nuit à la croissance et à la survie des jeunes moineaux, surtout les femelles.
En analysant les plumes perdues par les manchots pendant leur mue, les scientifiques parviennent à suivre la pollution au mercure et retracer son infiltration dans le réseau trophique marin. Cette contamination met en danger l’écosystème austral.
Contrairement à une idée reçue, l’augmentation du CO2 n’est pas une bonne nouvelle pour la biodiversité. Une étude menée sur 24 ans révèle que, combinée à celle de l’azote, elle favorise certaines plantes au détriment d’autres, réduisant la diversité et la résilience des prairies.
Rénover les constructions anciennes en profondeur réduit très nettement leur empreinte environnementale. Mieux, cela améliore aussi notablement la qualité de vie des résidents. Comment favoriser ce type de rénovation ? Les réponses de Diana Ürge-Vorsatz, vice-présidente du Giec, spécialiste de l’efficacité énergétique.
17 objectifs pour transformer notre monde
Les objectifs de développement durable sont un appel à l’action de tous les pays – pauvres, riches et à revenu intermédiaire – afin de promouvoir la prospérité tout en protégeant la planète. Ils reconnaissent que mettre fin à la pauvreté doit aller de pair avec des stratégies qui développent la croissance économique et répondent à une série de besoins sociaux, notamment l’éducation, la santé, la protection sociale et les possibilités d’emploi, tout en luttant contre le changement climatique et la protection de l’environnement.
— Permalien