Les oscillations climatiques dans l’océan Pacifique n’affectent pas seulement les températures et les précipitations. Elles déséquilibrent aussi la croissance des mangroves, des écosystèmes clés pour les littoraux tropicaux.

En remettant en suspension les sédiments, le chalutage profond et le dragage affectent l’alcalinité des eaux côtières, ce qui amoindrit la capacité de séquestration du dioxyde de carbone par les océans.

Des chercheurs ont découvert que des microséismes profonds, liés à des cendres volcaniques piégées, modifient la façon dont les glaciers se déforment et remettent en cause les modèles d’écoulement classiques.

Les chauves-souris migratrices se déplacent sur quelques centaines de kilomètres seulement. Des chercheurs ont découvert qu’elles profitent des vents chauds des orages, afin de réduire leur dépense énergétique.

Les grands lacs, comme le lac Léman, émettent du dioxyde de carbone. On soupçonnait la matière organique d’en être responsable, mais le coupable serait en fait la précipitation calcite, liée à l’érosion des roches. Ce phénomène remet en question les modèles du cycle du carbone des lacs.

Un jet de particules de 23 millions d’années-lumière émis par un trou noir supermassif se cachait dans les données de l’interféromètre européen « Lofar ». Ses dimensions record intriguent les chercheurs mais offrent une piste pour comprendre l’origine des champs magnétiques dans les vides cosmiques.