Comment un « chatbot » diminue l’adhésion aux théories du complot
16 octobre 2024 à 08:00
Une nouvelle étude montre qu’en personnalisant ses réponses et en puisant dans des ressources très vastes pour donner des arguments précis, un agent conversationnel (GPT-4 turbo) est capable de réduire sur la durée l’adhésion de son interlocuteur à une théorie du complot. Décryptage de Jean-François Bonnefon, spécialiste des interactions humains-intelligence artificielle.