Lors de l’accident de Fukushima Daïchi, au Japon, en 2011, pour la première fois, les systèmes de refroidissement et d’appoint en eau de certaines piscines ont été totalement perdus pendant huit jours. Grâce à des mesures improvisées, les assemblages n’ont pas été « dénoyés » et le pire a pu être évité. Mais cela a rappelé les risques majeurs associés à ces piscines et un besoin de recherches complémentaires.