Près de 140 000 neurones et 55 millions de connexions : la première carte détaillée du « connectome » d’un animal aussi complexe que la mouche du vinaigre a été établie. Grâce à elle, les chercheurs espèrent mieux comprendre le fonctionnement du cerveau de cet insecte.
Un glissement de terrain massif a déclenché un mégatsunami dans un fjord au Groenland. Cette vague de 110 mètres de hauteur a donné naissance à un événement rare qui a fait vibrer la planète pendant neuf jours.
Alors que les horloges atomiques exploitent les niveaux d’énergie des électrons d’un atome, une horloge nucléaire s’appuie sur les niveaux d’énergie du noyau lui-même. Mais la réalisation d’une telle horloge fait face à nombreux défis techniques. Une mesure très précise d’une propriété du thorium, cruciale pour cette entreprise, vient d’être réussie.
John Hopfield et Geoffrey Hinton se sont inspirés d’outils issus de la physique pour développer des techniques d’intelligence artificielle reposant sur les réseaux de neurones.
Les simulations en deux dimensions de ces gigantesques courants circulaires océaniques donnaient des comportements peu réalistes. Un problème maintenant résolu.
Cet échantillon, moins altéré que des roches mantelliques récupérées sur le fond océanique, précise certains processus de transformation de la roche lorsqu’elle se rapproche de la surface.
En présence d’un signal de stress, comme un antibiotique, la bactérie Streptococcus pneumoniaee est capable de propager l’information par un mécanisme qui vient d’être décrit pour la première fois.
Prises dans la toile de l’araignée Araneus ventricosus et manipulées par celle-ci, les lucioles mâles continuent d’émettre de la lumière, mais de façon sembable aux femelles… ce qui attire d’autres congénères !
Des résultats récents ouvrent la voie à de nouvelles stratégies pour aborder l’hypothèse de Riemann, l’un des problèmes les plus importants en théorie des nombres.
Comme les roses, de nombreuses espèces végétales ont des épines, ou plus précisément des aiguillons. Cet attribut est un cas spectaculaire de convergence évolutive.
La photosynthèse des organismes vivants ne serait pas la seule source de dioxygène sur Terre. Au fond des océans, des concrétions rocheuses riches en métaux en produiraient spontanément.
Si l’énergie déforme l’espace-temps au même titre que la matière, son accumulation dans une région peut-elle produire un trou noir ? Non, répondent des physiciens.
Ces grottes pourraient permettre d’installer des bases sous la surface et ainsi de protéger les futurs astronautes des rayons cosmiques et des éruptions solaires.
Comment des vents plus forts ou plus faibles influeront-ils sur les courants de l’Atlantique nord ? Les indices du passé apportent une réponse cruciale, alors que les simulations de ces courants gagnent en réalisme.
Les yardangs sont des formations rocheuses allongées sculptées par le vent. Une nouvelle étude montre que leur formation résulterait de l’érosion éolienne d’un matériau hétérogène. Un processus qui peut conduire à des formes sembables au Sphinx égyptien !
Le phénomène de vidange est étudié depuis longtemps, mais il cache plusieurs régimes physiques distincts. Leur compréhension permet de déterminer la configuration pour une vidange optimale.
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